There are monsters under my bed. [ feat Asa Butterfield ]

→ Timothy (Wally) Grayson.

12 ans; né le 10 mai à Greenville en Caroline du Nord ; écolier ; Strangers.

“I keep wondering why I'm still calling your name through my tears ”

Je me souviens avoir vu quelque part que l'on a tous un peu de blanc et un peu de noir en nous. Le blanc et le noir, déjà, ce ne sont pas des couleurs. Ça veut dire de nous, les êtres humains, que nous sommes fades ? Pas de vivacité, pas de joie, pas d'enthousiasme ou quoi que ce soit ? Ensuite, le noir et le blanc, proportionnellement bien dosés, ça donne du gris. En gros, on est ni bon, ni mauvais, ou plutôt un peu des deux. Je ne me suis jamais pris pour quelqu'un de bien. Du haut de mes douze ans, je ne pense pas à jouer au preux chevalier et aider les enfants qui se font raquetter pendant la récré. Je reste dans mon coin, je baisse la tête et je ne bouge pas, j'attends que ça passe. Ça pourrait être de la lâcheté, mais je pense que c'est simplement être comme tout le monde. Faire comme tout le monde. Tout le monde ferme les yeux sur tout. On a fermé les yeux sur moi, sur ce qu'il m'arrivait pendant des années. Se sentir inexistant aux yeux de la société et des autres. Je sais m'effacer, j'ai toujours su. Me murer dans mon mutisme, rester calme avec mes crayons et mes feuilles de brouillon, ne plus bouger, ne pas respirer presque. Je suis comme ça. Un petit mouton qui ne bêle pas. Un oiseau qui ne chante pas. Je m'énerve rarement. Je suis bien trop calme et posé, patient et détaché pour que l'on puisse m'énerver. Je peux simuler, sourire ou bien pleurer, demandez-moi ce que vous voulez. J'ai beau être un petit garçon mit de côté de son plein gré, on pourrait presque croire que mon gris à moi serait plus gris clair que gris souris. Un gris clair, très pâle. Mais je suis loin d'être gris clair. Je me trouve bien trop pathétique, brisé et petit. Je serais plutôt un gris anthracite. Un gris presque noir. Même si je suis le petit garçon qui a peur, même si je suis l'innocent se cachant derrière ses petites plumes, je ne rêve pas moins qu'un jour, quelqu'un souffrira plus que moi.

Dans cette zone vous pouvez nous parler des goûts de votre personnage, faire des listes de mots qui pour vous l'évoque, soyez bref mais efficace !

(Questions-réponses, répondez du point de vue de votre personnage à la première personne, laissez-vous prendre au jeu ! Essayez de faire un minimum de cinq lignes en moyenne.)

→ Quel est votre sentiment vis-à-vis des habitants de Caswell et sur la ville en général ? Quand je suis arrivé, il faisait gris, humide, froid. Ce genre d'ambiance que l'on retrouve dans les films d'horreur ou dans les livres de Stephen King. Je me suis un peu senti comme un auteur de livre de sorcellerie prêt à être dévoré par ses propres démons... J'ai eu un peu peur, je voulais rentrer dans ma ville natale. Mais ça, je pourrais pas, je pourrais jamais je pense. Je ne suis pas beaucoup sorti. Déjà que la ville me fout la chair de poule, j'ai peur de croiser les gens. Je ne suis pas très bavard, je ne regarde pas mes interlocuteurs en face, alors parler à des gens... Je ne sais pas. Les gens qui m'ont accueilli sont gentils, très gentils. Ils sourient beaucoup, ils me parlent et Mme Drake m'a même offert un petit lapin en peluche. Je l'aime bien. Je l'ai appelé Céleste. Oui, c'est un lapin fille et alors ? Dans tous les cas, je ne veux pas sortir. Je suis pas prêt. Pas prêt du tout à affronter les autres, encore moins cette ville.

→ Que pensez-vous du conseil municipal et de son action ? Conseil municipal, mairie, politique locale ou nationale, je n'y connais rien. Et je dois avouer que je m'en moque royalement comme de ma première paire de chaussettes. C'est pas très grave si je ne m'y intéresse pas, j'ai pas vraiment l'âge de m'en occuper... Pas vrai ?

→ Que pensez-vous des récents événements ? Croyez-vous en toutes ces rumeurs surnaturelles ?Je ne suis pas ici depuis longtemps, je ne sors pas beaucoup, mais je vais à l'école, j'entends les gens parler, j'entends Mme et Mr Drake parler. Ils racontent que des choses arrivent, des choses qui ne devraient pas se produire, pas dans notre monde. C'est effrayant, je l'avoue, mais aussi très excitant. La première fois que j'en ai entendu parler, j'étais assis sur les bancs de l'école, une fille parlait à une autre que son petit frère de six ans à peine avait frappé jusqu'à sang un autre petit garçon parce qu'il lui avait emprunté son stylo bille. Je ne vois pas ce qu'il y a de surnaturelle dans ce genre d'acte mais j'attends la prochaine histoire avec impatience. Non pas que je me délecte du malheur des autres mais j'ai hâte d'entendre la partie avec un peu de magie... J'en ai follement envie et besoin. Peut être que des Anges viendront finalement et pas pour le Jugement Dernier.

→ Avez-vous un secret vous concernant à nous révéler ?Je porte les stigmates et autres cicatrices d'une innocence brisée. Il me l'a volé, il m'a tout prit. Il m'a arraché les ailes, m'a déplumé violemment, brutalement, avec acharnement. Sur mes poignets l'on peut voir quelques traces de liens, sur mon cou parfois se dessinent ses mains, sur mon torse et dans le bas de mes reins il y a toutes sortes de marques que j'aurais préféré pouvoir effacé. J'ai l'intérieur des cuisses si abîmées qu'on pourrait presque croire que je me suis scarifié. Je n'ai plus mal, avec le temps. Je ne pleure pas en y pensant. Douleurs fantômes qui me prennent parfois lorsque les cauchemars reviennent.

→ Avez-vous été témoin dans la ville de choses que vous aimeriez dénoncer ?Il y a toujours des choses dont on est témoin, des choses que l'on voudrait dire mais que, finalement, on se tait. Je me suis toujours tut. Je détournais le regard ou baissais la tête.C 'est comme ça. Je suis comme ça. Je ne vois rien, je n'entends rien, je ne dis rien. J'ai déjà vu des pères qui frappaient leur fils, des mères qui ne faisaient pas attention à leur fille, des hommes qui volaient une babiole dans un magasin pour ressentir une once d'adrénaline, j'ai vu des femmes mariés se jouer des hommes, j'ai vu la drogue passer de main en main. On voit ça partout, peu importe la ville, peu importe les Hommes. Caswell ne doit pas être différente, quoiqu'un peu plus effrayante. Les gens semblent encore plus dingues ici, incontrôlables, spontanés.

→ Vous êtes pris dans un cyclone. Des débris sont tombés sur la personne qui vous est la plus chère et sur un enfant que vous ne connaissez pas. Si vous la sauvez cette personne vivra avec un handicap terrible mais l’enfant mourra. Si vous sauvez l’enfant il sera indemne mais l’autre mourra. Vous ne pouvez en sauver qu’un, alors que faites-vous ?La question est stupide. Premièrement, je n'ai personne qui m'est réellement chère. Deuxièmement, je suis moi-même un enfant. Troisièmement, si j'étais cette personne chère, j'en voudrais certainement à la personne de m'avoir sauvé de me faire vivre avec un handicap toute ma vie et de ne pas avoir sauvé l'enfant malgré le fait que je remercie le ciel d'être toujours en vie. Quatrièmement, si j'étais l'enfant, que l'on me laisse mourir me rendrait fou de rage car déjà que je suis invisible aux yeux de tous, me laisser crever de cette façon, je serais capable de venir hanter la personne mais d'un autre côté être sauvé et retourné à cette vie qui est la mienne, sachant qu'une personne qui était aimé serait morte à ma place... Je crois que ça me rendrait tout aussi fou. Cinquièmement, je ne choisirai pas. Ce n'est pas moi qui choisis, je ne suis as Dieu pour jouer avec la vie d'autrui... Même si prendre un paquet de pop-corn et regarder celui qui se débat le mieux semble intéressant comme shéma.

“ tell the world I'm coming home ”

Je m'assieds sur la balançoire et commence à battre des jambes. Rapidement, mes pieds ne touche plus le sol. Je lève les yeux au ciel, mes mains fermement agrippées aux lanières. Le vent claque mes joues, je prends de la vitesse. J'adore ça. Mon cœur qui semble imploser dans ma poitrine, cette impression de décoller du sol, de m'envoler, de ne plus jamais toucher terre, de partir loin... Je veux m'envoler. Je veux réellement partir loin. Très loin dans le ciel. Et que jamais on ne puisse me rattraper. Je veux être un oiseau libre. Je ne veux plus de ma cage dorée. Je continue à battre des jambes en souriant. Me sourire se transforme en rire. Je ris aux éclats. Je ris comme un enfant. Enfin... Faut-il toujours que je quitte la terre ferme pour enfin sourire, me sentir bien, me sentir libre ? Je serre davantage les lanières, je m'enivre de ce sentiment que je connais si peu, je ferme les yeux. Je ne suis déjà plus là. Je m suis envolé vers le Paradis. Quand j'étais plus petit, j'avais peur de tomber de la balançoire. Me balancer trop haut, ne pas me tenir assez fort, atteindre le ciel du bout des doigts et m'écraser lamentablement au sol. Je ne suis jamais tombé. Pas de la balançoire, du moins. J'espère ne jamais réellement grandir et continuer à apprécier ce jeu. Maintenant, je n'ai plus peur de tomber. Et si un jour il m'arrivait de tomber... Ce ne serait pas très grave parce qu'au final, je me relèverai, pas vrai ?

Je me balance. De plus en plus haut, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Et je ris. Oh, oui, je ris. Je ris à en avoir des crampes aux joues. Je ris à en pleurer. Et je pleure. Je pleure comme le petit garçon que je suis. Mais pour une fois, je pleure de joie. Je suis bien, oh, tellement bien ! Une main arrête brusquement mon envolée vers le Paradis. J'ouvre aussitôt mes yeux rougis par les larmes et les lève pour le regarder. Papa semble encore énervé. A contre-cœur, je me lève de la balançoire et essuie mes larmes. Il n'aime pas me voir pleurer. Je n'aime pas me voir pleurer non plus, à vrai dire. Il me dit qu'il est l'heure de rentrer. Je regarde le ciel puis le parc. Il fait encore jour. Je crois bien qu'il n'est même pas dix sept heures. Il n'y a plus d'enfants dans le parc. Il fait froid. Normal en octobre qu'il fasse un peu froid. Il me prend vivement la main, je ne puis que le suivre. Je le regarde longuement, marchant à son rythme pour ne pas le fâcher. Je ne l'ai jamais compris et je pense que jamais je n'arriverai à le comprendre. Parfois, c'est comme ça, on comprend pas les gens, même ceux qui nous sont proches, même ceux qui nous font mal. Il serre trop fort sa main. J'ai mal. Dieu que j'ai envie de pleurer, et pas de joie cette fois. Je ne veux pas qu'il soit énervé. Pitié, regarde-moi. Regarde-moi, je te souris, je bats des cils, pour toi. Ne t'énerve pas. Je ferais n'importe quoi pour que tu sois gentil. Je serais gentil aussi. Je serais ton Timmy boy, ton tout petit, ton magnifique amour. Mais il ne me regarde pas. Ça ne m'empêche pas de sourire. Je souris encore et encore jusqu'à ce qu'on arrive à la maison. Il ferme la porte. Il la claque. Je ne sursaute pas, je ne sursaute plus. Dieu que j'ai envie de pleurer. Dieu que j'ai peur.

Maman m'a apprit à prier avant de mourir. Elle était malade. Très malade. Papa disait que c'était ma faute. Je ne répondais rien, je baissais simplement la tête ou acquiesçais. Mais Maman, elle, elle disait que j'étais son trésor, son petit soleil, son petit oiseau qui pourrait étendre ses ailes et s'envoler dans le ciel, vers le Paradis, avec les Anges, avec Dieu. Dieu pardonne, Dieu protège, Dieu est colère, Dieu punit, Dieu pardonne, Dieu oublie... Dieu, c'était un peu Papa. Ça, Maman ne me l'avait pas dit. Elle m'a apprit à prier. Je devais m'agenouiller face à mon lit et souhaiter quelque chose ou réciter une prière que l'on trouve dans la Bible, un très gros livre qui ne me dit rien. Il fallait joindre ses mains, on peut fermer les yeux si on veut et Dieu nous écoute, Dieu nous entend. Mais si Papa c'est Dieu, je ne veux pas qu'il m'écoute et qu'il m'entende. Chaque soir depuis que Maman est morte, je m'agenouille et je ferme les yeux. Je prie, dans ma tête, juste pour moi et moi seul.

Ce soir encore, je prie, mais cette fois, je suis allongé dans mon lit. Pas de couvertures sur moi, je frissonne. Il fait encore plus froid que dans l'aire de jeux. Je serre les jambes, les yeux rivés sur le plafond. Je prie. Je prie pour qu'un Ange vienne me chercher. Oui, je prie pour mourir. Je porte une main à ma poitrine, je sens mon cœur battre. Il bat fort, trop fort. Et je prie pour qu'il s'arrête. Je cligne des yeux pour ne pas pleurer. Pleurer ce n'est pas bien, pleurer ce n'est pas pour les garçons, pleurer ça fait mal. Je ne dois pas pleurer. Je ferme les yeux. Faites qu'on vienne me chercher.

A l'école, je n'écoute pas les professeurs. On dit de moi que je suis distrait, un poil lunatique. Je gribouille sur ma feuille, je fais quelques cercles, parfois des cubes, des fleurs ou des petits personnages. Aujourd'hui, j'ai décidé de dessiner un Ange. Il me tiendra compagnie durant l'heure de cours. Une fois finit, j'en suis satisfait. Je l'effleure du bout de l'index et esquisse un petit rictus. Il n'est pas non plus très beau, mais je l'aime bien. Mon petit Ange, rien qu'à moi. Je suis tellement absorbé par mon dessin que je ne remarque même pas que tous les yeux sont braqués sur moi. L'institutrice et tous les élèves de ma classe ne regardent que moi avec de grands yeux ronds. Je cligne plusieurs fois des yeux, silencieux, je les observe, je ne comprends pas. Je remarque une dame et un monsieur en uniforme. Ils disent mon nom, presque à l'unisson. Ça me fait peur. J'ai envie de fuir, loin, dans mon Paradis. Seulement, je me lève, je récupère mes affaires et je suis la dame qui tend une main vers moi. Tout va très vite, on m'explique rapidement que je vais quitter la ville, ma ville, celle où j'ai grandi. Je n'ai pas d'amis et pas de famille à part Papa, mais je connais le boulanger qui fait le coin, je connais le monsieur qui nous donne le courrier, je connais le petit papi qui s'assied sur le banc en regardant la dame qui promène son chien... C'est chez moi. Et on me dit que je dois partir. Je m'accroche à la manche de la dame en uniforme. J'ai toujours rêvé de partir... Mais pas comme ça. Pas comme ça. Elle me dit que tout ira bien. Je ne pleure pas. Pleurer, ce n'est pas pour les garçons. Je la lâche et la suis, tête basse. Je crois que Papa va être très fâché contre moi.

On me dit qu'on m'emmène à Caswell quand tout ça sera terminé. Je n'ai jamais été très doué en géographie, j'y connais pas grand chose. Mais c'est pas loin de ma ville. Pas loin de chez moi. Dans la voiture de police, on me parle, mais je n'écoute plus. Je regarde la route défiler; mes doigts contre la vitre. Le ciel semble gris, ici. Je n'ai pas peur, mais ça me rend triste. Je veux pas vivre dans cette ville, je commence à avoir froid. Je ramène mes jambes contre moi et pose ma tête contre la vitre. Moi qui pensais m'être débarrassé de la peur... Elle semble plus encrée que jamais.

On arrive devant une petite maison, des gens qui ont l'air très gentils m'attendent sur le pallier. Ils ont l'air un peu vieux, mais gentils. La dame me tend la main. C'est la deuxième dame qui me tend la main en si peu de temps. C'est bizarre. Je pourrais presque y prendre goût. Je l'attrape timidement en souriant mais lorsque mes doigts touchent les siens, j'ai l'impression de prendre un coup de jus et la retire vivement en couinant. Elle a l'air gentille, vraiment. Le monsieur à ses côtés aussi. Pourtant... J'ai peur à en crever. Il aurait peut être mieux fallu que Papa me tue. Je veux pas y aller. Je veux rentrer chez moi. Je ne dois pas pleurer, mais je panique. Les larmes, je les retiens, mais pas mes cris. Je veux rentrer. Je veux ma Maman. Je veux ma balançoire. Je veux m'envoler loin d'ici. Je suis encore un petit oiseau dans une cage dorée.

→ Todd.

Petit poisson deviendra grand, j'ai trouvé le forum en me baladant par-ci par-là, le forum a l'air sympa, on verra bien ce que ça donnera ! Les pedobear me font un peu peur... Mais je prends la sucette !

Ywucivusucl cjvlvjxkf !
Un potit n'enfant ! Cet avatar ohyeah

Comment je suis pressé de lire ta fiche !

Bienvenue sur Homecoming !

Merci beaucoup ! Pardonnez mes fautes, je suis un peu fatigué. J'ai d'ailleurs fini ma fiche !

Yo !
Je te souhaite la bienvenue parmi nous ! ( de bonne heure et de bonne humeur :D )

Un ch'tit n'enfant brill

Bienvenue

Invité Invité

Bienvenue à toi ! brill

il fait peur le ch'ti n'enfant sur le gif de l'histoire pleure

Welcome à toi ! What a Face

Très bon choix d'avatar, j'espère que tu t'amusera bien parmi nous I love you

J'adore ton personnage I love you

Et tu écris très bien ! Je pense que plusieurs personnes risquent de te demander un lien ! Encore bienvenue sur Homecoming, heureux de compter un petit oiseau brisé de plus avec nous.

TU ES VALIDÉ(E) !

Encore une fois bienvenue à toi ! L'équipe administrative te souhaite de vivre une expérience des plus intéressantes sur le forum. Tu peux les contacter pour tout problèmes, pour une question, ou pour le plaisir, si tu as envie de les embêter. Aussi, tu peux voir sur le coté une barre de navigation; ce sont les points importants que tout nouveau membre doit effectuer. Sache que tout le forum t'es maintenant ouvert. Tu peux dès à présent poster ta fiche de liens, de téléphone, d'historiques et partir à la recherche d'un rp. Un administrateur t'ajoutera vite à ton groupe, ton rang te sera donné ainsi qu'une jolie couleur ! Au plaisir de te croiser sur le flood ou bien sur la chatbox !