Travis Evans -

date d'arrivée : 29/09/2013 mensonges : 38 âge : 20 ans humeur : Instable

→ Travis Evans.

20 ans; né(e) le 1er Novembre à Caswell, Maine ; Travail sur un chantier ; Hometown.

“It's a fucked up world; everybodys judged by their fucked up face.”

C'est un fait, Travis n'est pas une mauvaise personne. Il suffit de regarder plus loin que les apparences pour se rendre compte de cette évidence; il est humain et profondément sensible. Cependant, on peut naître avec le meilleur fond du monde, lorsque l'on a la sensation constante d'être le mouton noir de sa famille ; et ce depuis que l'on a l'âge de réfléchir, une sorte d'amertume prend forme, inévitablement. Avec le temps, cette amertume fatigue, épuise même; pour finir par se transformer en des émotions plus pesantes encore, plus noires et lourdes à porter.

Certaine famille aurait été heureuse de voir naître un petit garçon original, un brin rêveur adorant lire et à l'humour particulier ; mais ce ne fut pas le cas de la sienne. Bien au contraire. Ses parents tentèrent de le remodeler à leur façon, sans relâche, le faisant sentir honteux de ce qu'il était. En vain. Le jeune Travis restait le même ; pourtant il n'avait rien à faire de particulier pour cela. Il lui suffisait... D'être.
Mais lorsque nos propres géniteurs nous regardent avec un dérangement certain, se demandant bien ce qui cloche chez nous, alors comment développer une confiance en soi naturelle ? Travis ne trouva pas la réponse à cette question. Du moins durant ses plus jeunes années.
Comme par provocation inconsciente, il s'enferma un peu plus encore dans son propre monde, répondant de moins en moins aux standards idéaux de sa famille. De son côté, il avait l'impression de faire des efforts, pourtant. Mais visiblement, ça ne suffisait pas. Ce n'était jamais assez. Même sa "sœur" ne semblait pas le considérer comme un membre de la « famille ». Et il avait beau y réfléchir à deux fois, il ne voyait pas ce qu'il avait de si spécial.

Au début, comme tout enfant normal, il en souffrait. Il se répétait à quel point il aurait voulu rentrer dans les cases parentales, pour avoir la sensation d'être aimé. Il tentait de se façonner différemment, s’efforçant tant bien que mal d'être quelqu'un d'autre. Mais cette attitude ne fit que générer en lui un comportement anxieux permanent. Lui qui était un enfant stressé par nature dut affronter d'autres sources d'angoisses pour être ce qu'on lui demandait. Etre simplement accepté.

Puis l'adolescence arriva, cette période qui changea tout. La fatigue d'être constamment écrasé par ses angoisses finit par lui être insoutenable et il trouva sa propre solution : celle de se recouvrir mentalement d'une bonne dose de je m'en foutisme. Au moins, avec ça, on lui foutait la paix. Il s'armait d'un laxisme insolent et ne se laissait plus faire, envoyant paître tout ceux qui avait quelque chose à redire à son identité. Il se découvrit même une capacité à être efficacement acerbe, ce qui lui permit de décourager les nuisibles de revenir à la charge.
Jusque la, il avait été un enfant sans histoire, obéissant et soumis à ses émotions ; mais il constatait à quel point ça ne lui avait pas réussit. S'il fallait vendre son âme au diable et devenir un sale petit con opportuniste et critique pour être respecté, alors il le serait.

Alors il s’efforça de s'endurcir, de ne plus laisser les remarques parentales l'atteindre et continua son propre chemin. Puisque jamais ses parents ne seraient fiers de lui, et bien il se chargerait d'être fiers de lui même à leur place. Évidemment, ce n'était pas si facile...
Mais parfois, il y croyait et se sentait terriblement fort.
C'est à cette époque que le pire arriva ; alors que le jeune adolescent aux allures de vilains petits canards ramait quotidiennement pour se construire moralement, sans l'aide de personne, une dispute parvint à ses oreilles -souvent bien trop curieuses-.
Ce qu'il apprit brisa quelque chose, qu'il n'identifia pas bien lui-même, sur le coup. Il lui sembla par la suite que ce qui venait de se dissoudre était ce qu'il restait de son estime de lui-même.

Alors comme ça, son père n'était pas son père. En plus d'être l'émotif déconnecté de sa famille, il n'était donc qu'un pauvre bâtard. Et pour couronner le tout, il apprit qu'à la mort de ses parents, il n'hériterait de rien. La nouvelle fut le coup de massue final.
Il entra fréquemment dans des colères noires qui ne changèrent rien. Il prit l'habitude d'agir sous le joug de ses pulsions, de sortir en claquant les portes et en débordant de vulgarité.
Quelque chose avait définitivement changé. Il avait du mal à se rappeler le petit garçon qu'il avait été.

Il sortit de plus en plus régulièrement, rentrant toujours plus saoul ou défoncé. Il enchaîna les conquêtes sans vraiment en être satisfait, ne trouvant pas de source de bonheur particulière. Les mauvaises fréquentations que lui interdisait sa mère devinrent ses amis, ou du moins, ses connaissances.
S'il avait été accepté par ses « parents », peut-être aurait-il pu s'épanouir en grandissant, peut-être aurait il pu écrire des textes de qualités et faire ce qui lui plaisait profondément.
Mais ce ne fut pas le cas, et c'est en portant un masque étranger à lui-même qu'il se protégea le mieux, aimant de plus en plus sa solitude et ses cachets de codéine.

→ Quel est votre sentiment vis-à-vis des étrangers ?

Ils font bien ce qu'ils veulent, non ? Je me fiche de qui entre ou sort de cette ville. Ils verront bien d'eux-même comment on se sent dans ce repaire à rats, alors ils partiront. Et ils auront bien raison ... Nous, on ne peut pas partir. On va crever ici. On a pas cette chance, de décider de ou on finira notre vie. Ni même de ou on la vivra. Alors à la rigueur, peut-être que je leur en veux de pouvoir choisir. Mais je vais pas être agressif avec eux pour autant. Tant qu'ils me font pas de coups bas.

→ Que pensez-vous du conseil municipal et de son action ?

Ils ont du pouvoir, ça c'est sûr. Et comme tout ceux qui ont du pouvoir, ils auraient tendance à un peu trop en abuser à mon goût. Moi, j'aimerai ça, avoir du pouvoir. Mais j'ai rien du tout. Alors je les regarde faire et je reste lucide. Mes parents ont bien essayé de me bourrer le crâne avec l’idée inverse, je suis pas stupide; je vois bien que ces types la, ce sont des rapaces. Donc, pour être clair : je les aimes pas spécialement. Il y a que les hypocrites de cette ville pour les aimer. Mais bon... En attendant, je vois pas ce que je pourrai faire pour changer les choses. Je vais pas aller poser une bombe chez eux parce que ces mecs la se la pètent. Tout ce que j'aimerai avoir, c'est leur compte en banque.

→ Que pensez-vous des récents événements ? Croyez-vous en toutes ces rumeurs surnaturelles ?

Ben... J'avoue que je sais pas trop. Naturellement, j'aurai tendance à croire à ce genre de choses. J'veux dire, pourquoi pas, après tout ? Mais bon, je suis plus un gamin. Je suis plus naïf... J'ai grandi, alors j'imagine que maintenant je peux faire la part des choses. Il faut que j'arrête de chercher des excuses à la nature humaine; c'est peut-être juste un coup des Hommes tout ça. Le monde tourne de moins en moins rond et sans l'aide du surnaturelle. Donc il faudra plus que ça pour me convaincre que quelque chose de vraiment paranormale se passe ici.

→ Avez-vous un secret vous concernant à nous révéler ?

Ma vie n'intéresse même pas mes propres parents, alors je ne vois pas pourquoi elle vous intéresserait, vous. Et puis un secret, c'est censé rester secret il me semble. De toute façon, la réponse est non. Je n'écoute pas les commérages de cette ville, ça me fait pitié, donc je n'ai de secret sur personne et encore moins sur moi.
Quoi que... Maintenant que j'y pense, j'ai peut-être bien quelque chose. Mais bon, à tous les coups vous devez le savoir. Vous le saviez peut-être même avant moi. Vous deviez rire de moi quand je n'étais au courant de rien. Je ne suis pas le fils de mon père. Vous parlez d'un secret... Ce n'en était un que pour moi, j'imagine.

→ Avez-vous été témoin dans la ville de choses que vous aimeriez dénoncer ?

Dénoncer ? Non mais sérieusement, ou va t-on ? C'est quoi cette philosophie de la délation ? Cette ville est vraiment pourrie jusqu'à la moelle. Donc au cas ou vous ne l'auriez pas compris, non, j'ai rien à dénoncer ! Et même si j'avais quelque chose... Je dirai rien. J'y crois pas, je vais même pas m'étendre sur le sujet tellement ça m’écœure.

→ Vous êtes pris dans un cyclone. Des débris sont tombés sur la personne qui vous est la plus chère et sur un enfant que vous ne connaissez pas. Si vous la sauvez cette personne vivra avec un handicap terrible mais l’enfant mourra. Si vous sauvez l’enfant il sera indemne mais l’autre mourra. Vous ne pouvez en sauver qu’un, alors que faites-vous ?

... C'est terrible, cette question. Je ne me vois pas laissez mourir un enfant, vraiment pas. Il y a rien de pire que de laisser mourir un enfant, vous pensez pas ? C'est l'innocence même, la pureté que plus personne ne possède dans cette ville... Dans ce monde.
Mais je deviendrai fou si je devais être coupable de la mort d'un de mes amis les plus chers ! Quoi que, pour le peu que j'en ai. Mais la n'est pas la question, je sais bien. Cette question me pose vraiment un souci de conscience. Dans les deux cas, je ne pourrai plus dormir tranquille quoi que je fasse. Mais, allons y à l'instinct...
Je crois que je suis prêt à tout si quelqu'un arrive à s'attirer ma loyauté. Alors, je sauverais mon ami...

“ You just do stuff and nothing happens. What's it all mean ? What's the point ? ”

Mon histoire n'a rien de passionnante. C'est une suite de déception pathétique. En tout cas, jusqu'à l'année dernière. Pour commencer, mon enfance résonne en moi comme un tunnel noir et morbide.
Quand j'y repense, j'me vois; petit et rêveur, à chercher un sens à tout ce qui m'entourait. Je me prenais vraiment la tête pour pas grand chose... J'essayais de plaire à tout le monde, d'être un petit enfant parfait.
Quel abruti je faisais. Ça n'a jamais marché. Ma mère ne m'a pas regardé d'avantage. Celui que je prenais pour mon père non plus. Je sais même pas qui est mon vrai géniteur, mais surement que je dois tenir de lui, car je ne vois vraiment pas quel genre de points communs j'ai avec les autres membres de cette secte qu'on appelle famille.
J'avais même un p'tit côté artiste à l'époque, mais ma mère me faisait carrément comprendre que c'était un truc de faible et que je n'avais décidemment pas la carrure d'un futur homme. Ça me rend fou, quand j'ose y repenser. Elle déchirait même mes écrits cette radasse. 'Tain... Si j'avais un gamin, moi je l'aimerai comme il est. Mis bon je sais pas, peut-être bien que je devais lui rappeler mon vrai père. Elle devait pas beaucoup l'aimer, soit dit-en passant.

Bon, Dieu merci j'ai fini par ouvrir les yeux et j'ai grandi. Mon "père" me disait que je devenais un p'tit con insupportable, que je commençai à l'ouvrir un peu trop. Il faut croire que chez moi, ils sont jamais contents.

J'ai jamais ramené des notes extraordinaires de l'école, mais je suis pas stupide pour autant. Je retiens bien, j'ai vraiment une mémoire d'enfer. Mais uniquement pour ce qui m'intéresse, le reste je zappe aussitôt. Disons qu'en cours, j'étais un peu du genre à bavarder ou à être inattentif; je suis pas fort en concentration et mon insolence chronique a souvent poussé les profs à me mettre dehors le cours à peine commencé.

Niveau vie sociale, j'ai jamais eu trop de chance. J'sais pas pourquoi, il semblerait que j'ai la capacité d'me faire surtout des ennemis. Dans mon collège, les mecs cherchaient surtout le conflit en me bousculant dans les couloirs ou autres conneries. Peut-être bien parce que je suis une grande gueule, quand j'y pense... Une tête à baffe, assurément. Mais je suis pas vraiment violent, généralement lorsque les problèmes arrivaient j'étais plutôt démunis. J'peux toujours blesser et me défendre avec les mots, (ça c'est mon fort) mais quand t'es face à des brutes, à part les foutre en rogne d'avantage, ça change pas grand chose... Bref.

Pour continuer dans ma lancée auto-biographique, voila l’événement suivant... Lorsque j'ai appris que je n'étais pas le fils de mon père, ça m'a rendu fou. En plus, celle qui se dit ma sœur passe son temps à me provoquer, comme si tout ce que j'ai vécu jusqu'ici n'étaient pas suffisant. Il faudra m'expliquer comment je suis censé avoir une bonne estime de moi avec tous ces gens qui m'entourent depuis ma naissance et qui s'appliquent à me marcher sur l'ego. Du coup je me débrouille et parfois je fais preuve d'agressivité pour camoufler tout ça. Lorsque quelqu'un que je ne connais pas me manque de respect, je sort de mes gonds facilement. Il me manquerait plus que le monde entier s'y mettent. Je suis pas spécialement violent mais j'ai la langue vénéneuse.

Depuis mes 17 ans, j'ai pris le gout de sortir souvent pour faire la fête. Durant ces occasions, je libère toutes mes tensions et j'oublie le mot limite, si vous voyez ce que je veux dire. Je bois, je fume, du légal, du pas légal... Un peu de codéine de temps en temps pour passer une bonne journée, rien de bien méchant. Si ça peut m'empêcher de trop penser.
Niveau vie social, j'ai jamais été envahi.
Mais l'année dernière, ce domaine a changé. J'ai rencontré Asher.
Jusque la, ma vie a été plutôt zéro en matière de modèle masculin. Mais avec Asher... ça aussi ça à changé. Lui, il me juge pas.
Et surtout, je me sens bien avec lui, quelque chose comme... Protégé. D'ailleurs, c'est pratiquement avec lui que je vis maintenant. Bon c'est pas vraiment officiel mais j'espère que ça va le devenir. J'suis peut-être un poil possessif avec lui. Que voulez-vous, je tiens pas à grand chose, alors quand ça m'arrive, j'suis un peu extrême dans mon genre.
Faut me comprendre; ma relation avec Asher, c'est bien le seul pan de ma vie qui frôle le parfait, la seule chose stable que j'ai...
Si y avait pas sa pouff de copine pour noircir le tableau. Un jour, je me la farcirai.

Pour terminer, actuellement je travaille dans un chantier. J'essai d'amasser un maximum de fric, en attendant de trouver mieux. Je suis prêt à pas mal de chose pour gagner de l'argent, je sais à quel point c'est important. Je sors très régulièrement et je rentre rarement chez moi. Lorsque j'y vais et que je suis défoncé, mes géniteurs me foutent dehors. Et lorsque c'est comme ça, j'vais droit chez Asher.
Avec les filles, il y a rien de vraiment stable. L'engagement ça me paralyse. Y a peut-être juste... Love. On est de vrais amis. Et en ce qui concerne l'aspect physique avec elle, c'est de temps en temps, comme ça... Dans cette chapelle...

→ Luan

Alors alors, j'ai 20 ans, je suis née le 30/08 et j'habite dans le centre de la France. J'ai connu par pure hasard le forum, avec une recherche google. Il m'a l'air bien cool et actif, j'ai hâte de commencer.

date d'arrivée : 01/11/2012 mensonges : 621 crédits : Judasnana âge : 26 ans

Bienvenue ... bitch. What a Face

Je vois que tu as déja fini ta fiche. \o/ Hâte de haïr.

Bienvenue, bienvenuuuuuue

Je lis tout ça brill

Genre t'es née le 30/08, u KIDDIN. Moi aussi. stare

Je vais lire tout ça, j'étais en mode angst tout l'après midi sur ta personne "C'EST QUAND QU'IL POSTE LE TRAVIS".
En plus tu t'inscris le jour du final de Breaking bad, c'est un signe.
Cdajvakoclalclabciakvo. I love you

MON TRAVIS BORDEL.
/me part mourir dans un caniveau.

Damn j'ai eu du mal à reconnaître Aaron au départ sur ton avatar o_O super choix de scénario en tout cas et quelle fiche ! nuu

Bienvenue par ici.... bon jeu j'espère alors ! I love you

date d'arrivée : 29/09/2013 mensonges : 38 âge : 20 ans humeur : Instable

Merci tout le monde !

Yes, je suis du 30 Août, une Vierge folle héhé !

Jesse P. étant mon perso' préféré de tous les temps, tout à l'heure j'ai tapé : "Aaron paul forum rpg" sur google et BAM je tombe ici et je vois que le scénario est pas prit alors ni une ni deux \o/ !

Hé ouais, je ménage mon arrivée Cool

!

Si tu veux qu'on discute de notre lien ou de choses de ma fiche que tu trouves pas adapté mp moi !

J'ai tout lu et ça me convient OwO
J'ai déjà mon lien te concernant de rédigé dans ma fiche, je cite quelques fois Travis dans pas mal de mes rps

Après on a un lien tout les deux avec Judith (je l'avais pas mis dans le scénario parce que ça concernait surtout Asher) mais si tu veux savoir comment se sont passés les 20 ans de Travis l'année dernière, je te conseille de lire mon lien avec Judith What a Face

Encore merci d'avoir prit mon scénario, je te valide de ce pas I love you

Pinkman :oh yeah:

TU ES VALIDÉ(E) !

Encore une fois bienvenue à toi ! L'équipe administrative te souhaite de vivre une expérience des plus intéressantes sur le forum. Tu peux les contacter pour tout problèmes, pour une question, ou pour le plaisir, si tu as envie de les embêter. Aussi, tu peux voir sur le coté une barre de navigation; ce sont les points importants que tout nouveau membre doit effectuer. Sache que tout le forum t'es maintenant ouvert. Tu peux dès à présent poster ta fiche de liens, de téléphone, d'historiques et partir à la recherche d'un rp. Un administrateur t'ajoutera vite à ton groupe, ton rang te sera donné ainsi qu'une jolie couleur ! Au plaisir de te croiser sur le flood ou bien sur la chatbox !

MERCI ! Ce gros mofo d'Ashole va enfin nous ficher une paix royale et cesser de pleurer sur son Travis...
Bienvenue dans le coin ! J'ai plus les yeux en face des trous donc je lirai ta fiche demain et je viendrai certainement réclamer un lien avec ce compte ou un autre. En espérant que tu te plaises ici, malgré la laideur inquiétante des membres :red:

date d'arrivée : 29/09/2013 mensonges : 38 âge : 20 ans humeur : Instable

Ok ! Super !

Merci encore à tous :)

Au plaisir de rp.

Bienvenue parmi nous !

Travis c'est un peu le messie quand même, il était gravement attendue! Alors bon courage avec tout ces tordus qui vont affluer sur ta fiche de liens, qui sait j'en ferai peut être partie! hehe