date d'arrivée : 06/04/2013 mensonges : 843 crédits : Valingaï âge : 20 ans adresse : Normalement sa caisse, actuellement chambre d'hötes humeur : Perturbé
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Sujet: Baby A. Stewart, It's not funny Sam 6 Avr - 17:31
→ Baby (Angel²) Stewart.
19ans; né(e) le 31/10 à Augusta, Maine; Glandeur; Strangers.
“ De l'autre côté du miroir”
Baby, c'est l'histoire d'une âme innocente, enfantine, gangrenée par la folie d'une mère. Il lui a tout donné, tout offert, sans attendre autre chose en retour qu'un amour maternel. Quand il a enfin compris que quoi qu'il fasse, il ne serait jamais à l'image de ce fils parfait qu'elle aimait tant, il a enterré la compassion, l'empathie et sa générosité sous la rage, la rancune, et l'égoïsme. Sa réalité, ses rêves n'avaient plus de raisons d'être, il s'est construit un autre lui, qui n'aurait plus jamais à souffrir ou à dépendre de quelqu'un. Libre, indépendant et autonome, Baby fuit l'ennui aussi énergiquement qu'il cache ses blessures. Aux yeux de tous, il est le confident idéal. Il écoute, il fume, il se la ferme et il ne juge pas. Chacun ses mœurs, chacun ses merdes. Impulsif, il se laisse bien trop souvent dirigé par son instinct plutôt que par son esprit, et vu qu'en prime, il est assez fier, il se fou fréquemment dans la merde, refusant d'admettre ses erreurs. C'est un chieur, qui enchaîne les conneries pour tromper l'ennui et pour se prouver, plus qu'à lui même qu'aux yeux du monde, qu'il existe. Il déteste ne pas se sentir être. Il a constamment besoin de s'assurer de sa réalité et les cicatrices qui parcourent son corps, témoigne de cette lubie. Plus que tout, il craint de n'être qu'une ombre, ou le pâle reflet de son frère qu'il ne connaît pourtant pas. A côté de ça, Baby est un amoureux de la vie, qui trouve le bonheur dans des choses que d'autre jugeraient futile. Un après midi ensoleillé au volant de sa voiture, une bière fraîche un jour de canicule, ou même celui de retrouver un bonbon au fond d'une poche. Il se veut dur, mais il a parfois du mal à se leurrer, car si il est implacable menteur, un comédien qui s'assume, il n'est pas suffisamment con pour réussir à toujours se cacher une vérité toute simple. Baby reste un enfant, trop tôt balancer dans le monde des adultes.
→ Quel est votre sentiment vis-à-vis des habitants de Caswell et sur la ville en général ? C'est une bourgade paumée, avec des gens paumés qui vivent dans une communauté paumée, au milieu de nulle part. Des villes comme ça, il y en a des tas, je viens de ce genre de coin, où tout le monde juge tout le monde, et où les ragots circulent plus vite que je ne vous roule un joint. Ça me faisait déjà chier d'être jugé en tant que membre de mon bled, mais alors en tant qu'étranger, ça me casse d'avantage les couilles. Je sens déjà les regards qui me dévisagent et les messes basses qui se murmurent, je vous le dit direct que tout soit clair. J'ai jamais été d'un calme olympiens, alors tant que personne vient me faire chier, ça devrait aller, non ?
→ Que pensez-vous du conseil municipal et de son action ? Je suis pas vraiment le mieux placé pour vous répondre, tout ça, ça me concerne pas vraiment. M'enfin, je peux toujours vous dire qu'en général, je crois en ce que je vois, l'époque où j'étais crédule est révolu... Sauf quand il s'agit d'esprit, alors là, j'ai pas besoin de preuve. Je SAIS que ça existe, et vous me verrez jamais les provoquer ou me balader dans une maison hanté. Je joue pas avec ce genre de chose, on sait jamais ce qu'on récolte à les provoquer... Je m'égare un peu là... tout ça pour dire que pour le moment, je considère votre truc là pour ce qu'il est... une rumeurs.
→ Que pensez-vous des récents événements ? Croyez-vous en toutes ces rumeurs surnaturelles ? Je suis pas vraiment le mieux placé pour vous répondre, tout ça, ça me concerne pas vraiment. M'enfin, je peux toujours vous dire qu'en général, je crois en ce que je vois, l'époque où j'étais crédule est révolu... Sauf quand il s'agit d'esprit, alors là, j'ai pas besoin de preuve. Je SAIS que ça existe, et vous me verrez jamais les provoquer ou me balader dans une maison hanté. Je joue pas avec ce genre de chose, on sait jamais ce qu'on récolte à les provoquer... Je m'égare un peu là... tout ça pour dire que pour le moment, je considère votre truc là pour ce qu'il est... une rumeurs.
→ Avez-vous un secret vous concernant à nous révéler ? Bah oui tiens... Vous me rappelez le principe d'un secret déjà ? Ah oui... C'est que personne ne soit au courant. Alors je vais fermer ma gueule, et ne rien répondre... Hein ? Un bonbon si je réponds... Deux, et je vous dis un petit truc intéressant, pas grand chose, hein... Mais si ce genre de truc commence à se savoir dans le coin, je vois déjà les regards courroucés des âmes bien pensantes... Alors intéressé ? Les bonbons d'abord et je parle après. Bien, alors je suis Bi. Si en général, je préfère les femmes, y'a quelques mecs que je laisserai bien me... Ouais... On va peut être s'arrêter là, hein.
→ Avez-vous été témoin dans la ville de choses que vous aimeriez dénoncer ? Je ne vois rien, je n'entends rien et je ne dis rien. Sauf quand j'ai envie de faire chier mon monde, là c'est différent. J'ai déjà fait chanter deux, trois cons d'ailleurs... Des péquenots de mon bled qui trompaient leurs femmes... ils ont bien rincés, ça, je peux vous le dire... Je ne juge pas, hein... Mais si ça peut me rapporter un peu de fric et casser les couilles à des gens que je buterai bien, je vais pas dire non. J'aurais tort de me privé. Après, je viens d'arriver... Revenez donc plus tard avec un ou deux paquets de bonbons, et je ferai ce que je peux vous dire, faites juste attention, qu'entre temps, je n'apprenne rien sur vous.
→ Vous êtes pris dans un cyclone. Des débris sont tombés sur la personne qui vous est la plus chère et sur un enfant que vous ne connaissez pas. Si vous la sauvez cette personne vivra avec un handicap terrible mais l’enfant mourra. Si vous sauvez l’enfant il sera indemne mais l’autre mourra. Vous ne pouvez en sauver qu’un, alors que faites-vous ? Elle est con votre question... Déjà, parce que je doute de tenir suffisamment à quelqu'un pour me retrouver dans ce genre de situation, ensuite, parce que je serai tenter de laisser mourir l'gamin. Pas par sadisme, bien au contraire. Je préfère le voir crever avec tous ses rêves, plutôt que de le voir briser par la vie, ses désillusion en guise de compagne. Enfin, j'en sais rien, dans le cas où ça se produirait, peut être que je mourrai en tentant de sauver les deux. Ce qui serait con au final.
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“ tell the world I'm coming home ”
J'ai grandis dans une ombre. Une ombre tellement grande qu'on ne pouvait même pas la nommer. Comme si son existence, bien que connu de tous, ne devait jamais vraiment prendre forme en une personne humaine. Cela aurait été la rendre réelle, bien trop présente dans nos vies. C'était ses règles évidemment. Pas de questions, pas de mensonges. Elle s'amusait pourtant, j'en suis sur, picotant ma curiosité à coup de sourire, de lapsus, ou même de comparaison. « Tu ne seras jamais mieux que lui. » « Pourquoi tu ne fais pas comme lui ? » « Pourquoi tu n'es pas lui ? » et si par hasard, je finissais par lui demander qui était ce ''lui'', elle haussait les épaules, et passait à autre chose. Mon père disait que c'était à mettre sur le compte de sa maladie, une connerie de plus que son cerveau malade et macabre inventait. Petit, je me contentais de ça. Ça me convenant comme raison, ça me permettait de me leurrer d'avantage, de me conforter dans une réalité où j'existais, non pas en tant que substitut ou pâle copie, mais en tant que son fils. Unique. Irremplaçable. Je l'aimais ma mère, d'un amour profond de gosse. Je l'aimais quand elle faisait des conneries, quand elle me tirait du lit en plein milieu de la nuit parce qu'elle trouvait que s'était le moment propice pour aller se baigner dans le lac. Je l'aimais quand elle me traînait avec elle dans les bars le soir parce qu'elle voulait pas être seule, je l'aimais même quand elle me faisait danser ou chanter devant ses potes ivrognes juste parce qu'elle trouvait ça trop mignon. Je l'aimais même lorsqu'il fallait aller la chercher dehors, parce qu'elle avait fugué en pleine crise. Je l'aimais, comme j'aurai voulu qu'elle m'aime, mais elle, ce n'était pas moi qu'elle aimait. Ça j'l'ai compris plus tard, quand elle a finalement éclaté mes dernières bulles d'espoir.
Là, maintenant, j'aimerai vous dire que je suis passé à autre chose, que l'envie de dégommer un mur ne me prends pas lorsque j'y repense, que j'ai tourné la page, et faire la part des choses. Ça serait vous mentir (pas que ça me gène, hein, en général j'suis pas un modèle d’honnêteté). Non... Ce souvenir, il me reste en travers de la gorge, comme le goût d'un verre de lait tourné trop vite avalé. Y a des tas de choses que j'excusais, que je comprenais, j'étais pas un de ces gamins trop con qui ont honte de leur mère. Et pourtant... Cette nuit, je la digère pas. C'est pas à cause de la crise qui l'avait secouée durant des semaines, ni les larmes qui avaient creusées ses joues, ni la manière et le regard qu'elle m'avait lancé en repoussant brutalement le bol de soupe brûlant que je lui avais préparé… NI même la douleur de la brûlure sur mon bras d’ailleurs... Non... C'qui passe pas, ce qui passera jamais... C'est ses excuses. Je lui ai tout pardonné, et ça aussi j'l'aurai oublié si seulement elle ne m'avait pas prit pour lui. C'est ce jour là aussi où j'ai enfin su, que ce lui était tout sauf une invention de son esprit tordu. Lui, c'était Hunter. Et c'est comme ça qu'elle m'a appelé durant les heures suivantes. Elle pleurait, elle me serrait dans ses bras, pour une fois aussi elle s'excusait, elle caressait mes cheveux, mes joues, faisait tous ses gestes dont j'avais tant de fois rêvés, sauf que ce n'était pas à moi qu'elle parlait. C'était lui, son autre fils, l'aîné, celui qu'elle regrettait tant et qu'elle aurait préférés avoir à ses côtés. Quand le soleil s'est finalement levé, qu'elle se confortait d'avantage dans son illusion d'avoir retrouvé un fils abandonné, j'ai finalement compris que l'ombre, c'était moi.
Et après ça... Tout a changé.
Mon père, les profs, le psy scolaire, ou n'importe quel autre con, vous dira qu'à ce moment là, toutes les conneries que j'ai faites (les vols, les bagarres, la violence, l'insolence, les fugues, et j'en passe), c’était dans le seul but d'attirer l'attention de ma mère, de lui prouver que je n'étais pas qu'un jouait ou qu'une illusion. Mais toutes ces théories bidons, ils peuvent se les foutre bien profond, jusqu'à cracher des confettis. La vérité, la seule, c'est qu'à partir du moment où j'ai assimilé l'idée que quoique je fasse, je ne serai jamais à la hauteur de son connard de premier fils, j'ai décidé qu'il était enfin temps de céder à tous ces penchants que je refoulais pour ne pas la décevoir. Jusqu'à maintenant, j'avais tout contrôlé, tout contenu, je m'efforçais de coller à cet enfant qu'elle désirait avec tant de force justement pour exister à ses yeux. Le jour où j'y ai renoncé. Je suis enfin devenu libre. Plus jamais je ne serai son bébé, plus jamais je ne serai son petit ange, et je préférai encore crécher dehors que de rentrer la voir et d'apercevoir dans son regard ; le reflet d'un autre. Mon père a essayé les méthodes traditionnelles, d'abord les punitions puis quelques tartes dans la gueule histoire de me remettre les idées en place. Ma mère a essayé ses méthodes à elle, le chantage, les crises d’hystérie, la violence incontrôlée, les insultes, j'crois bien que tout y est passé. Mais rien ne marchait, au contraire, plus je la voyais gueuler, s'acharner, regretter et plus je prenais mon pied à enchaîner les mauvais coups.
Je n'étais plus animé par le désir de me plier à l'autorité et de me conforter à un modèle préétablie pour être aimé. Je savais pertinemment que cela ne me mènerait nulle part, si ce n'est qu'à la servitude. Alors au final, après le stade de sécher les cours, désobéir à mes parents, j'ai pris un raccourci vers les délits mineurs. C'était amusant, tellement. Je quittais le chemin que tout le monde suivait, la routine et l'ennuie pour tracer le mien, dicté par une seule envie : celle de m'éclater. Les crises de ma mère étaient de plus en plus fréquentes, et vu que je n'étais plus là pour aller la chercher, elle s'absentait de plus en plus longtemps. Quand à mon père, il avait renoncé. Résigné. S'abandonnant tantôt dans l'alcool, tantôt dans son travail, tantôt dans les putes qu'il se payait avec ses heures supp'.
Le temps a rapidement filé. Je me suis fait quelques amis, généralement plus vieux et pas très fréquentables, et vu que j'étais plus vraiment le bienvenu chez moi, je dormais ici et là. Je vivais le jour le jour, sans me soucier du lendemain. J'étais égoïste et, après toutes ces années perdus à être généreux, ça faisait un bien fou. Le fric était pas vraiment un soucis, j'ai jamais considéré qu'il m'en fallait pour être heureux. Me fallait pas grand chose. Ma caisse achetée à rabais avec du fric tiré à des touristes et des passants, un pack de bières, un paquet de clopes et quelques joints. Quelques fois, j'étais accompagné, le plus souvent j'étais seul et ça me convenait parfaitement. Je voyais mes amis quand j'avais envie, je rentrais pour donner l'illusion, et je me tirais aussi sec avec les billets que les putes n'avaient pas pris à mon père. La dernière fois que j'ai vu ma mère, elle était totalement hystérique. Elle parlait de revoir Hunter, ou de partir loin, pour ne jamais nous revoir, elle parlait de son nouveau mec, des projets qu'elle avait avec lui et tout un tas de conneries que j'écoutais pas... Comme elle l'avait dit, elle est partie, et comme elle l'avait promis, elle est pas revenue.
J'ai essayé. J'ai essayé de m'en moquer. J'ai noyé les doutes dans l'alcool, la colère et la rage dans des bagarres de rue, dès que je pensais à elle, je frappais jusqu'à oublier pourquoi je cognais... Mais c'était plus facile de la haïr quand je savais où elle était. Peu à peu, j'ai finis par imaginer le pire, les scénarios les plus tordus... J'suis tellement con. La nuit j'en faisais des cauchemars, et le matin, je me réveillais avec une boule au ventre.... Et puis j'ai percuté. Je voulais pas sauver ma mère pour le plaisir de la savoir en vie, en sécurité. Je voulais pouvoir lui cracher à la gueule toute cette haine qui me pourrissait le cœur depuis des années. Je voulais la regarder, et lui gangrener l'esprit avec ses erreurs. Même si elle ne réaliserait jamais... Au moins ce serait dit. Et moi, je retournerai à ma liberté, à ma caisse, mes bières, mon paquet de clopes et mes joints.
Je ne savais pas où chercher, j'avais juste un putain de nom, une putain de ville. Hunter. Caswell. Je quittais mon trou pourris, pour un autre. Animé par une haine viscérale, et une curiosité malsaine : celle de savoir enfin de qui j'étais le reflet.
→ pseudo.
J'ai été trainé de force par Mon frérot m'a gentiment parlé de ce fow et j'ai de suite accroché au contexte. En plus on m'a vanté l'ambiance, alors m'en fallait pas plus pour que je me tape l'incruste ! A part ça, j'aime pas les sucettes à l'anis, et j'suis une grand-mère.
Dernière édition par Baby A. Stewart le Sam 6 Avr - 19:21, édité 9 fois
Hunter D. Pendleton
date d'arrivée : 23/03/2013 mensonges : 3174 crédits : judas multicomptes : isle ginger deschain & tyler crazy lawson âge : 34 ans adresse : à droite et surtout à gauche, vous ne le trouverez jamais chez lui humeur : en plein pétage de plomb (et de gueules)
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Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Sam 6 Avr - 17:42
FRANGIIIIN Dépêche-toi de me terminer cette fiche si tu veux pas prendre mon pied dans le cul et être opéré des amygdales dès ton arrivée à Caswell !
J'suis folle amoureuse de tes prénoms et du choix d'avatar ! Je m'auto-baise right now
Trajan E. TempleSmith
date d'arrivée : 01/11/2012 mensonges : 2451 crédits : Croco ; signature episkey; gif Tumblr âge : 26 years old. adresse : 515, Northern Hills humeur : Lunatique sur les bords
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Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Sam 6 Avr - 18:27
Cet avatar est juste une bombe. Puis ton métier, ça doit être le meilleur au monde
En tout cas bienvenue par ici, si tu as des questions n'hésite pas.
Timothy Grayson
date d'arrivée : 03/02/2013 mensonges : 307 crédits : tumblr/bazzart âge : 12 ans humeur : hmpf.
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Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Sam 6 Avr - 18:41
Bienvenue à toi *w* !! On aime les gens qui sont trainés de force ici *sort*
Asher Weir
date d'arrivée : 28/10/2012 mensonges : 6230 crédits : JUDAS. âge : 36 ans. adresse : Dock N°7. Appart 204. humeur : Invincible.
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Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Sam 6 Avr - 18:51
Bienvenue sur HC Eh bien ça promet tout ça !
Baby A. Stewart
date d'arrivée : 06/04/2013 mensonges : 843 crédits : Valingaï âge : 20 ans adresse : Normalement sa caisse, actuellement chambre d'hötes humeur : Perturbé
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Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Sam 6 Avr - 19:23
Frangin: J'arrive, soit pas si pressé que je vienne te caser la gueule, voyons.
Merci à vous tous pour l'accueil
Adam T. Rosenbloom
date d'arrivée : 24/02/2013 mensonges : 252 crédits : ❖ avatar (c) psychozee ; signature (c) tumblr + code by me + watchmen (quote) + feeling good (muse).. multicomptes : ❖ none. âge : ❖ thirty-two y.o. adresse : ❖ northern hills. humeur : ❖ énergique mais sombre.
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Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Sam 6 Avr - 19:30
Pwahahahahaha, ton métier. Bienvenue sur le forum Et bonne chance pour la suite
Asher Weir
date d'arrivée : 28/10/2012 mensonges : 6230 crédits : JUDAS. âge : 36 ans. adresse : Dock N°7. Appart 204. humeur : Invincible.
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Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Sam 6 Avr - 20:51
TU ES VALIDÉ(E) !
Encore une fois bienvenue à toi ! L'équipe administrative te souhaite de vivre une expérience des plus intéressantes sur le forum. Tu peux les contacter pour tout problèmes, pour une question, ou pour le plaisir, si tu as envie de les embêter. Aussi, tu peux voir sur le coté une barre de navigation; ce sont les points importants que tout nouveau membre doit effectuer. Sache que tout le forum t'es maintenant ouvert. Tu peux dès à présent poster ta fiche de liens, de téléphone, d'historiques et partir à la recherche d'un rp. Un administrateur t'ajoutera vite à ton groupe, ton rang te sera donné ainsi qu'une jolie couleur ! Au plaisir de te croiser sur le flood ou bien sur la chatbox !
date d'arrivée : 03/11/2012 mensonges : 2697 crédits : ✛ lysergic acid. multicomptes : ✛ charlie l. o.-b. & bartholomew i. s. âge : ✛ 18 y.o. adresse : ✛ northern hills humeur : ✛ biatch all the way.
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Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Sam 6 Avr - 21:01
Bienvenue officiellement mon chou
Dylan Rosenwood
date d'arrivée : 01/11/2012 mensonges : 621 crédits : Judasnana âge : 26 ans
Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Sam 6 Avr - 22:01
Bienvenue
Samwell Hootkins
date d'arrivée : 04/01/2013 mensonges : 1187 crédits : .reed & tumblr multicomptes : Ingvar made by Ikea âge : 35 y.o adresse : downtown humeur : wtf
sneak peek Relations : What about the town ?: J'ignore tout de la vérité Pouvoir: Converse avec son double maléfique sur les surfaces réfléchissantes
Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Dim 7 Avr - 4:47
Welcome officiellement t'es quand même plus beau que ton frangin
R. Skylar Hallowell
date d'arrivée : 05/11/2012 mensonges : 505 crédits : eylika. + tumblr âge : dix-sept ans adresse : centre de repos humeur : vide
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Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Dim 7 Avr - 23:30
Hey yo, welcome ici bon choix d'avatar, well done, well done!
Andreas Blacks
date d'arrivée : 16/11/2012 mensonges : 919 crédits : Moriarty + tumblr multicomptes : Simon S.S. Schmerzberger âge : 31ans adresse : Northern Hills humeur : fuck you
Sujet: Re: Baby A. Stewart, It's not funny Lun 15 Avr - 16:45
comment ça je poste à la bourre? xD Nan c'était juste pour dire que ton perso déboîte et que je vais le suivre de près, j'adore l'histoire du perso, et tes prénoms sont juste énormes!!