Williamson ♣ I will just play dumb.

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→ Kennedy-Byron Caeden Williamson.

17 years old; né le 18/12 à Caswell; Lycéen; Keepers.

“ citation / titre de la présentation ”

Décrivez, sous la forme qui vous convient le mieux, le caractère de votre personnage. Parlez de ses défauts, ses qualités, bref laissez-nous apercevoir sa manière de fonctionner ! Si vous vous sentez perdus n'hésitez pas à vous inspirer des fiches des administrateurs.

Dans cette zone vous pouvez nous parler des goûts de votre personnage, faire des listes de mots qui pour vous l'évoque, soyez bref mais efficace !

(Questions-réponses, répondez du point de vue de votre personnage à la première personne, laissez-vous prendre au jeu ! Essayez de faire un minimum de cinq lignes en moyenne.)

→ Quel est votre sentiment vis-à-vis des étrangers ? (Strangers supprimez cette question.)

→ Quel est votre sentiment vis-à-vis des habitants de Caswell et sur la ville en général ? (Strangers uniquement.)

→ Que pensez-vous du conseil municipal et de son action ? (Tous sauf Keepers)

→ Quelle a été votre réaction lorsque vous avez appris la vérité ? (Keepers uniquement. Evitez tout spoiler, parlez juste de votre ressentit.)

→ Que pensez-vous des récents événements ? Croyez-vous en toutes ces rumeurs surnaturelles ?

→ Dans quelles circonstances est apparu votre pouvoir et qu’avez-vous ressentit ? (Infected uniquement)

→ Avez-vous un secret vous concernant à nous révéler ?

→ Avez-vous été témoin dans la ville de choses que vous aimeriez dénoncer ?

→ Vous êtes pris dans un cyclone. Des débris sont tombés sur la personne qui vous est la plus chère et sur un enfant que vous ne connaissez pas. Si vous la sauvez cette personne vivra avec un handicap terrible mais l’enfant mourra. Si vous sauvez l’enfant il sera indemne mais l’autre mourra. Vous ne pouvez en sauver qu’un, alors que faites-vous ?

“ tell the world I'm coming home ”

C'était une journée sans brume au-dessus de la mer, sans pluie, sans nuages. Un soleil brulant resplendissait et s'abattait sur Caswell, un jour d'été plus que magnifique. Une chaleur à la fois réchauffant et douce soutenue par une légère brise qui faisait respirer. Une brise qui venait de fracasser la porte d'entrée par l'irruption de son père. Il tenait dans ses bras une si douce chose. Mais ses yeux pleuraient. Son regard était fade et rougeoyant. Une chose venait d'arriver. « Pousse toi Caeden, il faut allonger ta soeur. » Lui imposa son père accompagné d'un mugissement de douleur. Ce n'était pas une douleur physique, elle venait de l'intérieur. Il déposa l'enfant d'une pâleur exorbitante sur le canapé du salon. La télévision battait la chamade, ses lueurs frappaient le visage de Reagan. On aurait dit que la lumière artificielle ravivait l'enfant mais c'était de cours repos avant qu'une femme, de traits matures ne vient frapper sur le bouton pour éteindre le boitier. C'était une très vieille TV. Une que l'on ne faisait plus de notre temps, on entrait dans les années 2000 alors de vieux engins avec des caissons en bois avaient disparu de la commercialisation. Caeden fixait le vide, son regard n'était pas descriptible. On y remarquait un soupçon de questionnement et d'inquiétude. Sa mère vint s'approcher de lui pour le prendre dans ses bras. Une main passa dans ses cheveux et l'autre venu appuyer son dos. Et reposa sa tête sur la sienne. Elle pleurait avec une respiration si saccadée et si forte que cela faisait peur à Caeden. Sa grande soeur était postée juste derrière la grande banquette, elle semblait complètement affolée. Elle avait dû perdre son sang-froid quelques minutes auparavant. Ses mains étaient crispées contre le tissu qui se plissait sous la force de sa peur. « Reagan, ouvre les yeux. Fait ça pour Papa ». Son père vint remonter une couverture à carreau jusqu'au menton de la jeune fille. « Il faut que tu résistes. » Une larme coula sur le visage de l'enfant en même temps que celui de son père. Il regardait ses paupières qui ne s'ouvraient plus en faisait un léger sourire comme pour se persuader qu'elle était toujours là. La larme qu'elle avait versée lui avait redonné espoir. Sa soeur vint se plonger au-dessus d'elle pour lui récupérer cette larme étrangère. Mais, à peine avoir touché la peau de sa petite soeur qu'elle fit un geste en arrière par réflexe. Sa peau était si froide, glaciale. Son teint allait pourtant avec sa chaleur corporelle flagrante. Sa bouche était fermée et mouchetée de bleu, maculer de la peau d'un macabre. Même pas une bouffée d'air en échappait. Caeden se débattit des bras de sa mère pour s'avancer légèrement en suppliant son père de lui raconter : « Qu'est-ce qui s'est passé Papa ? » Il se retourna sur sa mère en croisant le regard ensanglanter de sa soeur. « Maman ? ». Sa mère était encore plus pitoyable que le reste de sa famille. Elle semblait si fragile à présent. La toucher l'aurait fait s'écrouler. Elle tenait à peine debout sur des jambes tremblantes et si fines. Caeden était totalement paralysé par la peine. Il en savait absolument plus quoi faire. Comme s’il se retrouvait seul. Ils n’étaient plus là à présent. Ils n’agissaient pas, ils ne faisaient rien pour elle. Quelques mots vinrent enfin se décrocher de son père, avant qu’il ne s’abatte sur le corps inerte de l’enfant. Son front se reposa sur la joue de sa fille. La larme avait déjà disparu mais elle était remplacée par des flots entiers. « C’est trop tard. Va-t-en Caeden ». Il ferma les yeux en lui imposant cela. « Partez tous. Je ne veux plus voir personne… Barre-toi je t’ai dit » Lui hurla son père dans un accès de colère.

On lui avait expliqué que Raegen avait eu une crise cardiaque menée par une malformation enfantine, qui n'avait jamais été diagnostiqué. Pour jouer le jeu sa soeur et lui avaient été emmenés à l'hôpital pour passer des radios et des tests cardiogramme. Mais il n'y croyait pas le moindre du moins. Son père n'avait jamais su mentir et sa mère encore moins. Rien ne révélait la vérité, mais au moins Caeden savait que c'était un mensonge. Un de plus. Ça faisait deux ans que Reagan était morte et peu de monde dans sa famille avait fait le deuil. Surtout Caeden. Il s'avança tout en déversant un liquide fluide sur la voiture familiale. Son père avait tellement le gout des vieilles choses qu'il vouait un culte à sa ford del Rey de 1981. La fenêtre était ouverte c'était facile d'y jeter le bidon d'essence à l'intérieur de telle sorte que tout le liquide dévale les vieux sièges gris. Trouées et usées par le temps. Ce père était venu en criant ce soir-là. Un pneu lui avait éclaté sur le trajet, quelques jours après qu'il avait dû déjà utiliser sa roue de secours. Il avait même insulté le seigneur pour cet acte. Une chose impensable dans la famille. Le regard si vide et si anxieux, pourtant si remplis de colère, s'arrêta sur le pneu fendu en deux. Ses yeux se plissèrent. Un vieux clou était encore scotché au plastique. Il en ricana. Il avait trouvé ça tellement marrant de voir son père énervé qu'il avait rigolé à en perdre la tête avec sa soeur. Qui n'avait pas su résister à la bonne humeur contrastant celle de son père. Caeden dirigea sa main vers sa poche bombée par un objet rectangulaire. Il en sortit lentement un Zippo en aluminium blanc. Il le regarda avec attention. « De la part de tes enfants qui t'aiment ». Ses lèvres s'entrouvraient et son regard devenu moins sombre mais beaucoup plus sournois. Un léger hochement de tête vers l'objet lui fit prendre une longue respiration. Comme s'il allait une nouvelle fois rire. Le quartier était pourtant si calme. Si silencieux, certainement trop à son gout. La maison était de même. Comme si elle se reposait, pourtant toutes les lumières s'échappaient dans la rue. Un rire supplémentaire aurait percé cette tranquillité.
Puis, il projeta sa main ouverte brusquement vers la voiture. Le Zippo vola et glissa juste sur le toit huilé de la voiture. Il ne fut que très peu de temps pour qu'une lumière orangée virevoltante ne vienne embraser toute la surface de la mécanique. Caeden recula sèchement pour éviter les flammes voraces qui s'infiltraient à l'intérieur et fit fondre le volant et le tableau de bord à une vitesse étonnante. Les jets s'illuminaient sur le visage radieux de Caeden. Son iris projetait elles-mêmes les flammes comme si son visage brulait en même temps. La couleur de ses flammes se répandait sur son visage chaleureusement. La chaleur lui masquait la fraicheur qui s'abattait en ce mois de décembre. Et la fine couche de neige qui s'était déposé la veille sur l'herbe fraiche fondait tout aussi vite que les sièges dévoilaient leur monture métallique. Mais soudainement le regard de Caeden s'interrompit, comme si on avait enclenché le bouton off. Il clignota des yeux avant de se rendre compte réellement qu'il venait de foutre le feu à la voiture de ses parents. Il se mettait à cogiter peureusement en pensant au traitement qu'il allait subir « Non, je ne voulais pas faire ça. » Mais l'image de son père qui le giflait violemment à cause de ses rires quelques heures avant d'avoir même pensé à se venger lui revint à l'esprit ...

“ tell the world I'm coming home ”

histoire OU test rp contextuel par groupe. Le tout en minimum trente lignes.

“ tell the world I'm coming home ”

bla bla bla

→ pseudo.

Va falloir me reconnaitre les choux à la créme Indice : mon compte principal commence par un T.