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 Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...

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AuteurMessage
Alexander E. Gray
Alexander E. Gray

date d'arrivée : 22/07/2013
mensonges : 130
crédits : Blue romance
âge : 24 ans
humeur : J'vous emmerde


Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... Empty
MessageSujet: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptyMar 23 Juil - 18:15


→ Alexander (Ethan) Gray.
24 ans; né le 16/05 à (Portland - Oregon ); Barman /Videur  – Dealer ; Strangers ici); groupe.

“ J’ai pas de Dieu, mais que des gants pour cramer la vie”

Alexander Ethan Gray ou le mec qui ne sait pas parler de lui. Alors, j’vais me charger de le faire à sa place… Quand tu le regarde, t’as pas tellement envie d’aller lui taper la discute, ne serait-ce que pour demander une clope. Visage froid, impassible, vraiment pas avenant… Oui parce qu’Alexander, c’est ça : L’impassibilité. Jamais tu ne verras la moindre expression sur son visage. Bon faut pas pousser, ça lui arrive d’exprimer de la joie, de la haine, ce que tu veux mais en général c’est le type de personne que tu as du mal à cerner. C’est sa manière à lui de rester de roc face à ce monde de pourritures. Il n’exprime rien, personne ne sait, alors personne ne s’introduit là où il faut pas. Question sentiment, ne compte pas sur lui pour les mots tendre à la Roméo et Juliette, ni pour qu’il te sorte le grand jeu du séducteur. Quoi que, je mens aussi bien que lui. Pour séduire une femme, il sait user des belles paroles, du mensonge, de tout ce qui les fait faiblir pour ensuite aller parcourir leurs chairs et de les faire siennes. Pour tout avouer, il n’y a qu’une femme qui a le privilège si j’puis dire, de profiter de ce qu’il est encore capable d’offrir de manière naturelle et sans artifice. Et cette femme, c’est le peu qu’il lui reste dans une vie. Elle est la seule à l’appeler Ethan, comme Eux le faisait. Comme elle est la seule à le faire sentir entier et bien. Avec elle, c’est le protecteur pur et dur, Bonnie faut pas la toucher. Sinon, il cogne. Il tuerait même s’il le faut. C’est sa petite Princesse, son petit Soleil complètement camé au champi à tel point qu’il en devient arc-en-ciel. Il aime son impulsivité et c’est sa manière entêté de dissimuler son petit cœur brisé qui le touche. Bref, trêve de sensiblerie. Tu lui fais du mal, il te rendra le triple. Souvent, il joue ses gardes du corps lorsqu’elle deal dans la rue pour eux deux. Eh on sait jamais, y a de vrais tarés sur cette planète en perdition. Après, elle peut bien se taper trois mecs d’affiler, il s’en branle comme de sa dernière conquête.

Bref, si tu arrive à le connaitre un temps soit peu tu pourras vite constater que c’est un taquin et un emmerdeur né. Faire des conneries, ça il sait faire depuis qu’il est gosse. Il part parfois dans des délires peu communs où tu n’y comprendras sûrement rien à moins d’être aussi camé que lui. Mais ne cherche pas à t’attirer sa sympathie ou à en faire ton meilleur pote : Il ne s’attache jamais. Ca fait trop mal, il le sait. Il sait aussi que si jamais Elle se tire ou qu’Elle crève, il s’en remettra pas. Mais ça… Il ne te le dira jamais. Mais ne t’en fais pas, c’est quelqu’un de fidèle dans le sens où il est honnête et droit. Il ne te fera pas de sale crasse à la con, parce que les lâches, il déteste ça. Comme il déteste la pitié et l’hypocrisie de ceux qui font mine de te sourire pour mieux te cracher à la gueule du délinquant que tu es. En parlant de délinquance, c’est le Roi. Connerie sur connerie, il rit face à l’autorité et il s’en tape royal. Il a deux femmes dans sa vie : Bonnie et Liberté. Et la dernière, il y tient. Il n’obéit à l’ordre de personne, il fait ce qu’il veut quand ça lui chante. Oui parce que Monsieur est Anticonformiste avec ça ! On pourrait croire qu’il est exubérant dit comme ça… Mais tu fais erreur. Alexander se fond dans la masse, c’est le mec discret que tu ne remarques pas tout de suite, voir pas du tout. Tu pourrais presque oublier qu’il existe…

C’est pas un sentimentale non plus, ni un grand sensible. Il te laissera pas jusqu’à crever dans ton coin mais tu pourras chialer tout ce que tu veux, soit il va t’ignorer, soit il te renverra chier. Oui parce que les personnes qui se plaignent pour d’la merde, ça le gonfle.

C’est une vrai tête à claque, ce mec se fou de tout et de voir qu’il ait l’air si peu concerné par ce que tu dis est incroyablement… Irritant. Et puis merde, il est jeune. Insouciant, la vie l’a déjà cramé alors maintenant, c’est lui qui la crame. Avec la drogue, le sexe, l’alcool et la clope. Mais surtout, avec Bonnie parce qu’avec Elle, les trips sont bien plus drôle. Les risques il les prend, il n’a plus rien à perdre et il en a sûrement pas peur. Non c’est le genre de type qui n’a pas froid aux yeux. Oui oui, tu peux dire de lui que c’est un connard inconscient, parce que c’est bien ce qu’il est. Le pire est quand il se fou ouvertement de ta gueule lorsque tu lui parles sérieusement, ou quand tu lui fais un sermon. Il serait capable e te provoquer un ulcère ce con tellement il est chiant.

A côté de ça, jamais tu ne l’entendras évoquer son passé, ni ses parents. Si tu veux en savoir plus, tu glisse ta souris un peu plus bas et tu vas lire son histoire. Parce que c’est là seulement, que tu sauras d’où vient l’essence de ce qu’il est aujourd’hui. Peut-être que tu seras l’un de ses lourdingues qui tentera de se la jouer fin psychologue avec son analyse à deux francs cinquante. Ou alors, tu seras l’un d’eux qui s’en fou parce qu’il a vécu pire. Et tant mieux… Enfin, dommage pour toi quand même.  C’est pas trop le mec qu’il faut chercher, il est du genre impulsif, il fonce tête baisser et n’hésite pas à cogner. Au contraire, il aime ça. Expulser sa haine, sa rancune et son amertume face à tout ce qui l’entoure chaque jour, toute cette merde que la société bouffe et te fait bouffer. C’est là qu’il l’exhorte. Dans ses coups. Mais aussi, dans son regard de gamine encore rêveuse. Et dans la coke et l’héro.

Parlons-en des rêves… Parce que lui, il n’en a pas. Ils sont partie en fumé en même temps que la bagnole et leurs vies. Ca sert à rien qu’à te faire du mal. L’espoir, c’est la même connerie. Et pourtant, il sera là comme un con à lui dire que tout ira mieux, qu’il faut pas baisser les bras et qu’il faut arrêter de chialer. Que demain, le monde ira peut-être mieux.

Voilà, je pense que ça sera suffisant… Il risque de me cogner si j’en dis plus!






→ Quel est votre sentiment vis-à-vis des habitants de Caswell et sur la ville en général ?
Honnêtement, je m’en tape. De ce qu’ils sont, de ce que la ville est. Tout ce que je voulais, c’était retrouver Bonnie parce que putain, une semaine c’est long. Elle m’a appelée, j’ai rappliqué aussi sec. Et me voilà. Après, tout ce que je constate c’est qu’ils ont l’air aussi con qu’ailleurs. Suffit de voir comment j’ai été regardé à mon arrivé : Pire que la peste. C’est bon les gars, j’suis contagieux de rien. C’est vous qui l’êtes à rependre votre connerie. Non vraiment, ca n’a pas l’air d’être la joie. Après j’en sais rien, j’viens à peine d’arriver alors pour s’en faire une idée précise ça va être un peu compliqué. Pour moi ils n’ont pas l’air plus différent qu’ailleurs : Le même visage hypocrite, des faux semblants et le regard des pètes-cul qui te prenne pour la gale avec ta gueule de délinquant. J’ai été obligé de venir ici pour venir l’aider et lui tenir compagnie, c’est tout. Bref, j’m’en fou. Question suivante

→ Que pensez-vous du conseil municipal et de son action ?
Elle est sérieuse ta question ? Mais qu’est-ce que j’en ai à foutre… Je crois que ça, tu l’as pas trop compris encore. Tu veux que je te dise vraiment ce que j’en pense ? On dirait une secte cette ville, non mais sans déconné. Bonnie m’en a touché deux trois mots et c’est flippant. Suffit de voir comment on me regarde pour comprendre que quelque chose cloche ici. M’enfin, continuer à faire la fête comme si de rie n’était, j’aime bien. Après tout, est-ce que vraiment la vie doit s’arrêter au seuil d’une mort ? Non, la vie vous crame la gueule bien assez tôt, alors autant pas perdre de temps. De toute façon, peut m’importe de ce qu’ils font tant qu’ils me foutent la paix. Comme ça, tout le monde est content. De toute manière, j’compte  pas rester ici, ça pue trop. J’suis juste venu pour elle et quand j’vois la gueule de la ville, j’ai bien fais de venir. Bonnie, elle sait se défendre, mais y a trop de tarés … Certaines fois, elle est tellement perché qu’elle ne saurait même pas voir le mal là où il est. Il est donc hors de question que je la laisse seule ici. Avec ou sans leur putain d’accord

→ Que pensez-vous des récents événements ? Croyez-vous en toutes ces rumeurs surnaturelles ?
S’il y a bien une chose à savoir sur moi c’est que je ne crois en rien, ni personne. Sauf en Elle. Elle est ma seule croyance. Le surnaturel? Je ne crois que ce que je vois. J’suis sérieusement entrain de me demander si tu t’es pas drogué avant de me poser toute ces questions à la con. J’avoue que les évènements récents font un peu tâche sur votre ville, les meurtres, sans indice, sans suspect. Vos flics sont si à chier que ça ? Trêve de plaisanterie, j’ai autre chose à foutre. Alors ce que j’en pense : Rien. Que voulez-vous que j’vous dise, ce mec est mort et c’est con pour lui. C’est la vie, la réalité, point. Vous êtes déjà entrain de vous affolez à vous demander si je ne sais quel esprit tourmenté est venu faire la peau à tous ces petites gens. Mais non, au risque de vous décevoir, le p’tit Casper et ses trois oncles n’existent pas ! Faut vraiment que tu m’file le nom de ta cam parce que putain… Tu dois monter haut ! J’crois pas à toutes ces conneries, la Dame blanche et toute sa sainte famille. Faut arrêtez de vous formater le cerveau et de vous barricader derrière vos croyances inutile, affrontez un peu ce qu’il se trouve face à vous qu’on rigole un coup. Ces rumeurs surnaturelles ne sont qu’effectivement de simple rumeurs et quand bien même ça ne serait pas le cas, j’m’en balance

→ Avez-vous un secret vous concernant à nous révéler ?
J’ai tué. Une fois et c’était pas volontaire. C’était un soir où j’étais complètement défoncé à la coke, avec un bon coup dans le nez. J’revenais de chez une nana dont je me souviens même plus du nom, juste que c’était un bon coup. Bref, j’suis partie au milieu de la nuit et j’ai rencontré un type qui me revenait pas et à qui je revenais pas. Vous savez à San Francisco, dès que la nuit tombe, c’est la recrudescence de la violence et là, elle m’a frappée en plein de la gueule. Il m’a fait chier, je l’ai cogné. Un peu trop peut-être… Oui, bon j’me suis acharné dessus. J’suis un impulsif, j’agis sous les nerfs et l’instinct et là, l’ordre était de cogner. La came m’a pas aidé et j’ai rien contrôlé. Tout m’a échappé, les coups et la rage. C’est comme si j’avais expulsé toute ma haine sur ce corps qui était devenu qu’une enveloppe vide, je ne voyais plus un homme mais un exutoire. Il est mort et personne n’a jamais su que c’était moi… Les flics ? Eh les gars, revenez un peu à la réalité. Vous croyez vraiment que les condés en ont quelques choses à foutre du sort d’un gosse de 21 ans, camé jusqu’aux prunelles, sans domicile de surcroit ? Non, ils ont misé sur le règlement de compte entre dealer et basta. Voilà, personne n’est au courant et c’est pas plus mal. Sujet clos, j’ai pas envie d’en parler plus.

→ Avez-vous été témoin dans la ville de choses que vous aimeriez dénoncer ?
Il faute te le dire en quelle langue ? Je viens d’arriver, comment veux-tu que j’sois témoin de quoi que ce soit si ce n’est que du mépris de vos foutus concitoyens et de ce qu’ils font aux étrangers ? Mes potes m’avaient dit de pas venir ici, que ceux qui n’y étaient pas nés n’étaient pas les bienvenues. Mais bon, si vos femmes sont aussi jolies que celles que j’ai connues, alors j’trouverais bien mon bonheur quelque part dans vos rues ! Et quant bien même j’aurais quelque chose à dénoncer, tant que ça ne me concerne pas j’m’en tape. J’les connais pas les gens ici, j’ai pas envie de me mêler de leurs existences, la mienne est suffisante. En plus, j’suis pas du genre à être un fouille la merde. J’aime la baston, mais j’vais pas la chercher inutilement. J’suis un mec qui passe partout, discret donc la dénonciation, tu la demanderas au prochain. Maintenant, tu m’fou la paix ou t’as encore des questions stupides et inutiles ?

→ Vous êtes pris dans un cyclone. Des débris sont tombés sur la personne qui vous est la plus chère et sur un enfant que vous ne connaissez pas. Si vous la sauvez cette personne vivra avec un handicap terrible mais l’enfant mourra. Si vous sauvez l’enfant il sera indemne mais l’autre mourra. Vous ne pouvez en sauver qu’un, alors que faites-vous ?
*éclate de rire* Et moi qui me croyait complètement défoncé … bah putain, donne moi le numéro de ton fournisseur, j’en veux. Vous êtes entrain de me demander si je sauve la vie de Bonnie ou du gosse ? C’est quoi votre question, un test pour psychopathe ? Hum… J’vais sauver Bonnie. Les gosses ont peut en refaire plein, des Bonnie, on peut pas, y en a qu’une seule et celle là, on pourra pas la refaire. Quoi, vous aimez pas l’humour noir ? Ca va c’est bon.. J’ai un minimum de conscience, mais sincèrement, ça fait chier pour le gosse mais Bonnie est la seule personne qu’il me reste et en qui je tiens, donc j’irais la sauver. Et puis vous êtes lourd avec vos questions, j’ai autre chose à foutre là. J’peux me casser ? Ah et oublie pas de m’appeler, pour ton fournisseur, je sens qu’il va être mon nouveau meilleur pote celui là.


“Des drogues pour le manqué dedans”


" Ouaip ?
- … P’tain comment ça marche… Allo.. Ethan ? C’est toi ? Vite j’ai pas b’coup d’temps.
- Putain Bonnie ! T’étais où merde ! Ca fait une semaine que j’te cherche partout !
- Je sais pas trop. Ecoute mon père m’a envoyée dans un trou paumé, Caswell j’crois. Chez ma tante, tu verrais la barraque… Faut qu’tu viennes.
- CasQuoi ? Putain mais c’est où ce truc?
- C’est dans le Maine. Faut qu’tu viennes ici, ça va pas. Pas du tout...
- … Okay, j’pars cette nuit. Laisse-moi juste le temps d’trouver ce qu’il faut. File l’adresse
- Dépêche-toi, ça fait 4 jours. J’connais pas l’adresse, ramènes toi ! C’est paumé ce truc, on m’cherche déjà des emmerdes.
- Putain mais tu veux que j’te trouve comment si tu m’donnes pas d’adresse ! J’suis pas un GPS sur patte bordel ! T’as quoi autour de la baraque ? Des commerces ? Et tiens-toi à carreaux le temps que j’arrive, reste chez toi et t’attire pas des emmerdes pour rien Blondie.
- Mais Putain regarde sur une foutue carte ! Quand t’arriveras, demande où s’trouvent les Blacks. Et ramène le matos pour le commerce, j’tiens plus. Grouille-toi Ethan, j’ai besoin de toi… »

Tonalité.

Et voilà comment on se retrouve au fin fond des emmerdes et aux tréfonds d’un bled paumé. Bonnie avait le don pour ça, pour nous attirer là où la merde était la plus noire… Que je suis mauvaise langue. J’suis tellement pas mieux qu’elle. N’allez pas croire, j’ai pas  toujours été ce p’tit con ayant pour mère la délinquance. Je suis né à Portland de deux parents les plus bons au monde. Sans emmerde, tout ce qu’il y avait de plus adorable. Ma mère était éducatrice spécialisée et mon père ébéniste. Bref, des gens sans histoire. On a déménagé à mes trois ans en plein San Francisco dans un p’tit pavillon sympa. Le truc qui donnait l’air d’être bourgeois pour se sentir plus à l’aise parmi les riches. Autant dire que mes parents ne roulaient pas sur l’or et que j’m’en contrefoutais. Ils étaient là, on avait ce qu’il fallait pour être tranquille. J’me souviens pas trop de notre arrivée là bas, tout ce que je sais c’est que ma mère me racontait que lorsque nous avions fait connaissance de nos voisins, les parents de Bonnie, spontanément j’ai été vers ce p’tit bout de gamine blonde comme les blés et que nous nous sommes plus lâché. D’un naturel déconcertant. On a tout fait ensemble,  absolument tout. Nous étions cul et chemise, l’un étant toujours dans l’ombre de l’autre. Bref, j’ai vécu un début d’enfance tout à fait banal. J’étais pas un gamin chiant ni extravertie. Calme et tranquille, à l’instar de cette boule de nerf qu’était Bonnie, une vraie tornade, une vraie chieuse.

J’me souviens avoir été très proche de mes parents. J’suivais mon père partout, vous savez c’que c’est quand vous êtes gosse : « J’veux tout faire comme papa ». Moi j’voulais être ébéniste comme lui. Et puis, j’étais la chair de leur chair et ils me le montraient avec toute l’affection qu’un parent pouvait donner. Quand t’es gamin, tu n’as conscience de rien, et certainement pas des dangers à venir. Jamais t’irais t’imaginer sous ta p’tite couverture de Spiderman que la vie allait te claquer la gueule et te faire chuter comme un vulgaire bout de chair. Et que le film allait se répéter, encore et encore. Que le bitume, t’allais le bouffer à toutes les sauces…

8 ans
Les grandes vacances, le bonheur de tous les gosses de cette planète. Salut l’école, bonjour les copains à pas d’heure, les grasses matinées et les dessins animés à tout va. Pour moi c’était surtout : Bonjour Bonnie et nos journées à faire des trucs de gamins, se prendre pour des stars de cinéma, elle pour la futur Marylin Monroe et moi pour un agent secret de la CIA. Putain, qui aurait cru. C’était aussi le rituel du départ à la Mer pour trois semaines. D’habitude, mes parents emmenaient Bonnie avec nous, sa mère étant morte en couche, ils essayaient de lui redonner un semblant de famille reconstruite. Mais cette fois-ci son père voulait s’accorder quelques jours de vacances seul à seul avec sa gamine. Ca nous faisait chier, trois semaines c’était long. Trois semaines qui n’allaient devenir que trois heures. Trois putains de dernières heures.

5 heures du matin, la voiture chargée, mon père qui m’affublait d’une casquette et d’une paire de lunette de soleil en mode « beau gosse de 8 ans qui part à la plage » et ma mère qui déjà me mettait en garde contre les rayons nocifs du Soleil. Le cliché de la famille idéal qui dégouline d’amour sincère. Une foutue carte postale qui allait cramer aussi vite qu’un feu de forêt.
J’ai entendu dire qu’en général lors d’un choc psychologique, le cerveau occultait la partie dont il ne voulait jamais se souvenir. A croire que le mien était plus con que les autres parce que moi, je me souviens. De chaque son, chaque mot prononcé. La moindre seconde était inscrite au plus profond de ma matière grise.

J’étais entrain de chanter un morceau d’un groupe préféré de mon père, qui passait pour la énième fois à la Radio. A l’époque je m’en foutais de tout ça. Le commerce, la société. Bref, à cet âge là tu es aveugle face à tout ce qui t’attends. Comme mon père ne s’attendait pas à ce qu’un camion de marchandise lui coupe net le passage, grillant la priorité à droite. Il a fallut d’une seconde, une seule putain de seconde, pour que  tout parte en vrille. Tout c’est passé au ralenti, le visage déformé de mon père dans le rétroviseur, braquant le volant pour éviter le camion et la voiture d’en face, les hurlements de ma mère empreint de résignation face à l’évidence : La mort. Et moi et mon cœur, qui me cognait comme un fou entre mes côtes.

Les dernières notes avant le choc. L’arbre d’en face. Les freins sur l’asphalte, le bruit de la tôle froissée mêlé à nos hurlements stridents. Un cri sorti droit de mes entrailles de gosse, droit du cœur, venant y puiser toute la frayeur. Et puis le chaos. Totale. J’ai ouvert les yeux après, j’avais perdu la notion du temps et là tout mes sens se sont imprégnés un par un du cauchemar qui était représenté. Le toucher par la douleur de mes côtes fêlées par le choc et la ceinture. Mon ouïe pour le silence brutale qui avait suivit l’horreur auditive précédente puis les hurlements des autres conducteurs, encerclant la bagnole… Mon odorat pour le sang. Acre. Métallique. Un vague souvenir de sortie scolaire dans un abattoir me fit penser aux chairs ouvertes animales. Cette même odeur régnait, mélangée avec celle du bitume brûlé par les pneus. A celle de la tôle froissée et chauffer à blanc. A celle de aussi de la mort, lourde et accablante.
Puis la vue. Mon père enfoncé dans le pare-brise, la boite crânienne explosé sous la force du choc. Il n’avait pas montré l’exemple… Il n’avait pas mit sa ceinture. Son corps ressemblait à un pantin désarticulé … Puis ma mère, toujours assise sur son siège mais le bas du corps broyé par la tôle enfoncé. La tête retombant lourdement sur l’appui-tête, visage tourné vers moi… Les yeux vides, grand ouvert. L’horreur inscrite sur chacun de ses traits. Une poupée sans vie. Maquiller de son propre sang, le teint blafard, macabre.
Je suis resté figé. Le souffle court, le torse alourdis par la douleur et le choc. Ils étaient morts, à découvert sous mes yeux. Mon cœur battait à tout rompre et la souffrance montait de palier en palier. Je n’ai pas versé une larme. Pas un cri. Pas un hurlement de désespoir. J’ai juste vomis. Vomis toute l’horreur, toute cette odeur qui allait me coller à la gueule jusqu’à ce que je passe l’arme à gauche. Le choc venait de me dénuer de tout ressentis si ce n’est que ce vide, ce trou béant qui ne serait jamais comblé. Cette crevasse au fond du cœur qui vous donne la nausée H-24. Je ne me souviens plus de rien, ni des pompiers, ni de l’hôpital. Juste que je me suis réveillé d’un coma d’une semaine avec toujours cette même sensation de vide. J’étais mort avec eux.

Puis il y a eu cette petite tête blonde, familière, à côté de mon lit tout blanc, au milieu de cette pièce qui puait l’antiseptique. Bonnie m’a prit la main, avec une extrême douceur et à planter ses deux grands yeux bleus dans les miens, le visage doux, le sourire ensoleillé.

« T’inquiète pas Ethan, j’vais prendre soin de toi. C’est moi ta famille maintenant. »

Et elle n’avait que 6 ans…

C’est la dernière fois que je mentionne ce passage de ma vie. Je ne veux plus me forcer à me souvenir, mes cauchemars le font à ma place. Mais depuis, j’ai plongé tête la première dans la délinquance et la déchéance. Chacun réagit de manière différente. Y en a qui chiale et qui trouve une seconde famille bien chaleureuse, d’autre ne font que des conneries pour combler ce vide, pour évacuer la haine contre la vie. Elle venait de me cramer la gueule. J’allais maintenant le lui rendre au centuple.

J’ai été placé en foyer. Le seul avantage était que je continuais à être dans le même établissement que Bonnie. Et c’est là que commence la décadence. Connerie, manque de respect, bagarre dans la cours de récré, tout y passait. Je leur crachais au visage et je n’en avais rien à foutre. Je n’avais plus rien à perdre. J’ai nourris une haine viscérale face au système scolaire et à leur monde d’enfoiré. Le foyer était coincé avec une petite crapule de mon genre et je n’ai pas tardé à me faire une place et une réputation au sein de l’établissement. J’étais pas une ordre, juste un gamin en mal de vivre et qui ne supportait pas qu’on ne le touche. Quitte à me faire casser la gueule, je fonçais dans le tas lorsque l’on me cherchait des emmerdes. J’étais un impulsif et la pire de mes colères était celle que je ruminais, froidement.
A l’école, c’était le même tableau. Expulsion, avertissement. Echec scolaire ? Certainement pas, j’étais un p’tit merdeux qui ferait tout pour se casser aussi vite de leur engrenage pédagogique. J’passais de justesse mais c’était suffisant pour accourir droit vers la sortie. Ni les profs, ni les Educateurs ne me portaient réellement dans le cœur et vu la merde que je leur faisait bouffer, y avait de quoi. A l’exception de Peter. Un mec de 25 ans qui s’était prit d’affection pour moi :


« C’est pas un mauvais garçon ce gosse, il a juste besoin de se défouler »  Je crois que c’était l’un des seuls que je n’faisais pas chier avec mes conneries. En contre partie il m’aidait du mieux qu’il pouvait pour me sortir de mes propres emmerdes.  Et croyez moi que la p’tite tête blonde m’a suivit de près. Il n’y en avait pas un pour rattraper l’autre.
C’était la gamine qui pétait la joie de vivre, un vrai bout-en-train et ce, malgré les bleus qu’elle portait perpétuellement sur son corps de gosse. D’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais vu son père lui levé la main dessus… Jusqu’à ce qu’il perde son emploi et la raison pour la même occasion. Bonnie n’est pas le genre de nana à venir chialer pour rien et quant bien même elle se serait faite taper sur la gueule qu’elle ne dirait rien et continuerais de rigoler comme une folle, avec toujours ce même sourire sur les lèvres. Mais à moi, elle ne peut rien me cacher et encore moins des bleus sur les cuisses, sur les bras, les côtes et le dos. Elle avait 12 ans, j’en avais 14 ans. Nous étions en plein mois d’aout quand je l’ai vu se ramener avec un tee-shirt à manche longue  sous 34°C.

« T’es malade ?
- Ouais, j’crois, j’ai du attraper une connerie…

Elle peut vous sortir tous les mensonges les plus loufoques, qu’elle réussirait à vous les faire gober tant elle est persuasive. Mais avec moi, elle ne sait pas. Elle ne sait pas faire face à ce regard froid et éteint, le regard d’un gamin qui n’a plus rien à perdre.

- Et t’es pas entrain d’me prendre pour un con là ?  Qu’est-ce que tu cache, en plus ce tee-shirt tu l’mets jamais tu l’déteste.

C’était simple. Il suffisait que je ne déloge pas mon regard du sien qui était devenu fou sous la panique, puis elle s’est mise à pleurer et ma tout déballé. Elle a dégueulée sa haine comme un ivrogne vomirait son vin bon marché. Elle m’a montrée preuve à l’appui, que son père la prenait pour son défouloir, plusieurs fois par semaine, alors qu’il était ivre mort. Mais jamais sur le visage, il n’était pas si con que ça. Je me souviens de la vague de haine qui m’a submergé quand j’ai vu tout ces bleus sur ses bras. J’ai piqué une colère noir, j’ai gueulé comme un veau que j’allais le tuer, que j’allais le crever. Et elle était là à me supplier de rien dire, qu’elle allait s’en sortir et puis que j’étais là, que c’était suffisant. Et moi j’ai rien dis, comme un con.

Depuis, presque tous les soirs elle venait me rejoindre au foyer et je pouvais compter sur la complicité de Peter pour la laisser entrer sans que personne ne sache rien. Au moins, j’la savais en sécurité et puis ça me faisait de la compagnie. Bref, pour faire court, la suite ne fut pas surprenante. Clopre, drogue, fugue, connerie, flics, avertissement. La décadence à l’état pur. C’est même ensemble que nous avons gouté pour la première fois au sexe. C’était cool, un peu bizarre quand même mais on s’voyait mal le faire avec quelqu’un d’autre en faite. Au moins entre nous, si on avait l’air con c’était pas grave. Puis on a continué, ensemble, puis avec d’autre et là, autant dire qu’elle couchait à tout va et que j’faisais pareil. En même temps, vu nos deux gueules d’anges, c’était pas bien compliqué. Plus on grandissait, plus le chaos régnait autour de nous et on en avait rien à foutre, moi le premier. Concernant la drogue, au début on fumait uniquement des joints, puis après on a touché à plus dur. Mais bon, la came ca coute une blinde et le fournisseur idem. Alors pour payer nos conso’ et se faire de la thune avec, j’ai commencé les combats de rues vers 17 ans, j’avais la chance d’être grand, sportive et bien taillé et vu les bastons que j’me coltinais dans les cours du foyer et dans la rue avec mon caractère de merde, , j’étais pas trop dépayser. Bon j’me suis pris de sa coup mais pas de quoi défigurer. Et puis au moins, ça m’faisait de l’argent pour ma conso personnelle mais aussi pour la sienne. On dealait aussi, enfin Bonnie le faisait et moi je restais en retrait du genre « Garde du corps ». Vous conviendrez qu’on peut pas laisser une minette comme elle toute seule avec des grosses brutes comme nous.

Elle était la seule personne avec qui j’ai développé un instinct protecteur et rassurant. Le reste de la population, j’en avais rien à foutre. Rien à foutre des flics, de leur gueule de con bourgeois, je pissais sur leur Rolls Royce et gerbait sur le palier de leur porte. C’est bon, commencez pas à m’faire chier avec votre sermon à deux dollars cinquante. J’suis un type bien au fond, au moins on peut compter sur moi, j’suis pas le genre d’enculé qui laisse un pote dans la merde. On dirait pas comme ça hein… Tu m’diras, parfois j’suis tellement un je m’en foutiste que ça ne m’étonne même pas. La vie est ainsi faite, on vit dans un monde de crevard, t’y pourras rien.

21 ans = Liberté. Je me suis cassé du foyer le jour de mon anniversaire pour crécher chez un pote le temps que son cousin me laisse son appart’. J’ai eu une chance de cocue de trouver un logement aussi vite et j’en étais le premier ravis. J’ai trouvé un job de barman dans le coin pour payer le loyer et la bouffe, et j’ai continué mes combats de rue pour que nous puissions continuer à obtenir notre cam’. Bref, c’était le délire parfait pour un gars de mon genre. Et Bonnie ne se privait pas venir profiter de son double de clé. Elle était quasi constamment chez moi. Et se permettait même de me ramener ses plans cul à la con… Pendant que je rendais visite au mien. Et quand on s’faisait chier, on prenait quelques lignes, on refaisait le monde et on s’offrait le plaisir de la chair. Rien de plus naturel entre elle et moi.

Enfin bref, voilà pour la p’tite histoire. Comment la clôre ? De manière très simple : Bonnie est revenu un soir la gueule tuméfiée. Pas besoin d’expliquer en long en large en travers ce qu’il c’est passé. Les choses sont extrêmement simples. Tu peux bien être le pape, le président américain voir même le messie… si tu touches à Bonnie, que tu lui portes une seule marque à sa gueule d’ange : je te tue. Je te rends au centuple ce que tu lui as fait. Et c’est ce que j’ai été faire avec son père. Et sans retenue et cette putain d’ordure a eu de la chance que sa fille éprouve encore un pourcentage de compassion pour la pourriture qu’il était, sinon  il serait déjà entrain de se faire bouffer par les verres, six pieds sous terre.
Et non, il n’a pas porté plainte. Ce con a juste eu la bonne idée d’expédier sa fille au fin fond de Casmanichépasquoi. D’où cet appel. Maintenant, t’es bien mignon, mais j’ai autre chose à foutre que de continuer à blablater pour d’la merde
→ Yoko.

Salut bande de moules ! J’ai connu le site grâce à la bonnasse de blondasse qui s’appelle comme la chanteuse ! J’m’appelle Yoko, j’ai  24 ans et le reste on s’en fou parce que c’est pas intéressant. Mais si jamais tu veux en savoir plus, t’sais où écrire morpions ! Ah si j’aime gribouiller des traits qui s’appellent « Dessin » et j’aime geecker avec des bières parfois… Si si je suis une femme et efféminé en plus ! Allez, salut les morveux !



Dernière édition par Alexander E. Gray le Sam 27 Juil - 16:04, édité 4 fois
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Asher Weir
Asher Weir

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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptyMar 23 Juil - 18:26

Bienvenue officiellement I love you
Bon courage pour ta fiche !
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Bonnie JS Blacks
Bonnie JS Blacks

date d'arrivée : 22/07/2013
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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptyMar 23 Juil - 18:55

Owiii te voilà mon chou yeah Bienvenuuue, fais vite I love you
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Thea Larsen
Thea Larsen

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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptyMar 23 Juil - 19:45

YES, bon choix. lit
Bienvenue et bonne chance pour la fiche !
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Shirley Anderson
Shirley Anderson

date d'arrivée : 06/06/2013
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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptyMar 23 Juil - 20:18

Chris lala 

Bienvenue sur le forum sqeee 
Bonne continuation pour ta fiche super
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Alexander E. Gray
Alexander E. Gray

date d'arrivée : 22/07/2013
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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptyMar 23 Juil - 20:30

Ash ; Merci beaucoup, et désolée pour le pavé que j'ai postée pour le caractère... Ca doit pas trop donner envie de lire ><

Bonnie : T'inquiète trésor, je serais là avant que tu n'ai eu le temps de dire ouf 🔝

Finn : Merciii yeah  Et bon choix également, je VALIDE !

Shirley : Merci à toi aussi yeah L'est beau gosse, je sais Cool
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Hunter D. Pendleton
Hunter D. Pendleton

date d'arrivée : 23/03/2013
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adresse : à droite et surtout à gauche, vous ne le trouverez jamais chez lui
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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptyMar 23 Juil - 21:09

Vous z'êtes beauw tous les deux ! Bienvenue dans le coin !


T'inquiète, le pâté on aime bien à la campagne ! A la bonne franquette stink 
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Markus Krushnik
Markus Krushnik

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âge : 30 ans
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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptyMer 24 Juil - 11:09

Chris mauve  Un choix de fifiou
Bienvenue à toiii nuu 
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Alexander E. Gray
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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptyMer 24 Juil - 12:51

Merci Hunter, sort le vin j'arrive pour qu'on s'tape un bon cascroute :D

Merci Markus ! yeah
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Asher Weir
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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptySam 27 Juil - 19:01

TU ES VALIDÉ(E) !
Encore une fois bienvenue à toi ! L'équipe administrative te souhaite de vivre une expérience des plus intéressantes sur le forum. Tu peux les contacter pour tout problèmes, pour une question, ou pour le plaisir, si tu as envie de les embêter. Aussi, tu peux voir sur le coté une barre de navigation; ce sont les points importants que tout nouveau membre doit effectuer. Sache que tout le forum t'es maintenant ouvert. Tu peux dès à présent poster ta fiche de liens, de téléphone, d'historiques et partir à la recherche d'un rp. Un administrateur t'ajoutera vite à ton groupe, ton rang te sera donné ainsi qu'une jolie couleur ! Au plaisir de te croiser sur le flood ou bien sur la chatbox !
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Alexander E. Gray
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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptySam 27 Juil - 19:07

Merciiiiiii Ash !! yeah
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Trajan E. TempleSmith
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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptyMar 30 Juil - 13:49

DA CE MEC ! CHRIS ! Je l'aime donc j'taime aussi déjà .. brefouille bienvenue What a Face 
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Alexander E. Gray
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MessageSujet: Re: Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera...   Alexander E. Gray ~ Au rendez-vous d'en bas, on verra bien qui brûlera... EmptyMar 30 Juil - 15:22

Ouais je sais Cool Il vous fait tous ban...frémir What a Face Si tu m'aimes tu veux être mon keupin? What a Face
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